En réalité, les évidences
sont minces, pour ne pas dire inexistantes. Les plus grands scientifiques
de notre ère, tous évolutionnistes à quelques exceptions
près sont en train de réaliser que la théorie de l'Evolution
est un produit de l'athéisme de la fin du XIXe siècle et
non une explication scientifique véritable de ce qu'on observe dans
la nature. Le physicien anglais H.S. Lipson, dans le Physics Bulletin de
mai 1980 a fait part, également, de ses conclusions, à son
propre étonnement. Il écrit :
"En fait, l'Evolution est devenue
en quelque sorte une religion scientifique; presque tous les savants l'ont
accepté et beaucoup furent prêts à "tordre" leurs observations
pour qu'elles correspondent à cette théorie Mais pour moi,
la théorie de l'Evolution ne tient pas debout. Si la matière
vivante n'est pas le produit de l'interaction entre les atomes, les forces
naturelles et les radiations, alors comment est-elle apparue? Je pense
que la seule explication acceptable est la création. Je sais que
cette idée est taboue parmi les physiciens, comme elle l'était
jusque-là pour moi, mais on ne doit pas rejeter une théorie
que nous n'aimons pas si l'évidence expérimentale est en
sa faveur."
Mais dès 1967, une conférence
de mathématiciens au Wistar Institute avait prouvé avec certitude
que la sélection naturelle et les mutations génétiques
ne pouvaient en aucun cas amener une évolution des espèces.
Jacques Monod, le Prix Nobel français de biologie moléculaire,
avait démontré dans son livre "Le Hasard et la Nécessité",
que l'Evolution était impossible d'un point de vue biologique. En
1980, une conférence de savants évolutionnistes du monde
entier, s'est réunie à Chicago (USA) pour déterminer
si les petits changements au sein d'une même espèce (appelés
"mutations") peuvent, avec le temps et la chance, mener à une évolution
de l'espèce. La conclusion, impensable il y a encore quelques années,
fut que NON (les résultats de cette conférence ont été
résumés dans le magazine Newsweek pour les profanes et le
magazine Science de novembre 1980 pour les professionnels).
Pierre Grasse, par exemple, considéré
comme le porte-parole des zoologistes français, avoue que les mutations
ne font que modifier ce qui existait déjà et ne créent
rien de nouveau. Les paléontologues (qui s'occupent des fossiles)
ont déclaré que les évidences fossiles révèlent
que la réalité est bien loin du Darwinisme classique, tel
qu'il est enseigné dans les écoles américaines (article
de Newsweek ). Stephen Gould ajouta :
Toute trace d'évolution est
absente des roches.
Newsweek fait remarquer que le chaînon manquant
entre l'homme et le singe est le plus prestigieux de toute une hiérarchie
de créatures fantômes. Dans le monde fossile, les chaînons
manquants sont la règle. Plus les scientifiques ont
cherché des formes de transition entre espèces et plus ils
ont été frustrés.
Deux autres savants, astronomes
et mathématiciens, Sir Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe, ont
défrayé la chronique en novembre 1981 par leur révélation.
Sir Fred Hoyle, considéré comme l'un des plus éminents
astronomes au monde, et jusque-là évolutionniste convaincu,
a publié un article dans le magazine Nature sous ce titre : Il doit
y avoir un Dieu. Les deux savants ont travaillé chacun de leur côté
pour arriver aux mêmes conclusions : la vie n'est pas le résultat
du temps, du hasard et des propriétés de la matière,
mais d'une action délibérée. Hoyle était un
agnostique et Wickramasinghe un bouddhiste athée qui, selon ses
propres mots, avait subi un lavage de cerveau l'amenant à penser
que la Science s'opposait totalement à tout acte de création.
Un autre savant éminent,
le Prix Nobel Szent-Gyorgyi, a déclaré, après avoir
étudié un oiseau comme le pivert, que la probabilité
pour que des mutations aient produit une coordination si parfaite pour
creuser le bois est nulle. Tout cela a dû apparaître au même
moment. C'est bien sûr ce que le récit biblique décrit
depuis toujours.
"Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre"
(Genèse 1:1).
L'homme essaye de fuir cette vérité
parce qu'il refuse de se soumettre à son Créateur.
Mais la réalité d'un
Créateur intelligent et aimant est trop évidente pour rester
cachée plus longtemps :
"Les perfections invisibles de Dieu, sa
puissance éternelle et sa divinité se voient comme à
l'oeil nu depuis la création du monde, quand on les considère
dans Ses ouvrages." (Romains 1: 20).
Emmanuel Bozzi