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Les pénitenciels et les indulgences

Les pénitentiels

L'origine des indulgences

Les indulgences aujourd'hui

Réfutation des indulgences

Markale, Jean

Les pénitentiels

Une singularité du christianisme pratiqué par les Celtes, notamment pour ce qui est de la vie monastique, est la rédaction de Pénitentiels destinés à «tarifer» les fautes commises par les fidèles désireux de se racheter. Le principe, n'est pas chrétien: il appartient davantage à ce qu'on appelle la «barbarité» et présente des analogies avec les droits coutumiers des Germains et des Celtes. En fait, il semble que les moines irlandais et bretons aient maintenu l'ancien droit celtique en l'intégrant dans la spiritualité chrétienne. La notion du péché était très vague chez les Celtes païens: il s'agissait beaucoup plus d'une erreur que d'un péché au sens chrétien du terme, et comme toute erreur est susceptible d'être corrigée, tout péché est donc susceptible d'être pardonné, oublié, racheté moyennant certaines obligations. On a pensé, avec juste raison, que les Pénitentiels des moines celtes étaient à l'origine des fameuses «Indulgences» qui, répandues dans toute la chrétienté au cours du Moyen Age, ont provoqué, au moment de la Réforme, les protestations que l'on sait.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que ces Pénitentiels contiennent d'étranges éléments dont l'orthodoxie est plus que discutable. À des emprunts évidents tant aux Églises d'Orient qu'à l'Église romaine, viennent s'ajouter des souvenirs de l'époque druidique. Et cela témoigne de la persistance, en plein essor du christianisme, d'un fond «païen» spécifique, de pratiques relevant davantage de la magie que de la spéculation d'ordre spirituel. Tout est précis, tout est prévu dans ces Pénitentiels, y compris des fautes qu'on n'imaginerait même pas. Des exemples, comme celui des Canons Hibernenses, sont éloquents. Ainsi, l'avortement est rachetable par trois et demi de pénitence, mais si on détruit «l'embryon et la mère», le prix de rachat est la valeur de 12 esclaves femmes, ce qui est assez considérable.

Le Pénitentiel de Cummean est encore plus précis en ce qui concerne les tourments de la chair: «Celui qui désire seulement commettre la fornication, mais en est empêché, fera pénitence une année. Celui qui est pollué à la suite d'un mot ou d'un regard, alors qu'il ne voulait pas commettre la fornication corporelle, fera pénitence 20 ou 40 jours selon la gravité de son cas. Mais celui qui est pollué à la suite d'un violent assaut de son imagination fera pénitence 7 jours.»

Le Pénitentiel de Finnian prévoit des cas où la fornication se fait à la suite de pratiques magiques: «C'est un péché monstrueux qui doit être expié par une pénitence de 6 ans (3 ans au pain sec et à l'eau, 3 ans sans viande et sans vin)». Il faut croire que la magie, c'est-à-dire des pratiques héritées du druidisme, était encore bien vivace à l'époque (7e siècle), car les Canons Hibernenses font état de fautes inexplicables sans cette référence: «La pénitence pour avoir mangé de la viande de cheval, 4 ans au pain et à l'eau. Pour avoir mangé de la chair d'une bête morte, 40 jours au pain et à l'eau. Pour avoir bu un breuvage illicite contaminé par un chien, un an au pain et à l'eau. Pour avoir mangé un aigle, un coq ou une poule, 50 jours au pain et à l'eau. Pour avoir mangé un chat, 5 jours au pain et à l'eau.» Il ne peut y avoir aucun doute là-dessus: ce Pénitentiel fait une véritable nomenclature des gessa, ces fameux interdits de l'Irlande païenne et druidique, interdits selon lesquels certaines personnes n'avaient pas le droit de manger ou même de tuer certains animaux. Ces interdits nous plongent dans le plus lointain passé religieux des Celtes, et on y décèle le souvenir d'une certaine forme de totémisme. Ainsi, l'interdiction de manger du cheval se réfère à une antique sacralisation de cet animal.

D'après les Pénitentiels, il était toujours possible de se libérer d'une pénitence en accomplissant un acte de substitution. Les Canons Hibernenses nous en donnent quelques exemples:

«Équivalence de jeûne spécial: 100 psaumes et 100 génuflexions.

Équivalence d'un an: 3 jours avec un saint mort, dans sa tombe, sans manger ni boire, ni dormir, mais avec un vêtement, après une confession des péchés et un voeu monastique, et en chantant des psaumes et des prières.»

Ces Pénitentiels sont les premiers en date dans toute la chrétienté. Leur rigueur et aussi leur étrangeté ont certes frappé les autres chrétiens, mais en les dépouillant de leurs éléments manifestement trop païens, ils les ont finalement adoptés et adaptés. On peut également penser que la pratique de la substitution des peines est à l'origine des Indulgences. Ces Indulgences sont en effet des «remises de peine» sous condition d'accomplir des actes de remplacement, prières, dons charitables, pèlerinages. Et cela ne va pas sans subtile casuistique, puisqu'on en arrivait à accomplir des actes de substitution méritant un certain temps d'indulgence avant même d'avoir péché. C'était en somme un capital d'impunité garanti à l'avance, avec tous les abus que cela pouvait entraîner. De plus, le système des équivalences permettait aussi de faire accomplir l'acte de substitution par d'autres personnes. Jusqu'à une époque récente, en Bretagne armoricaine, il a existé des pèlerins de profession: ils étaient payés pour accomplir des pèlerinages au lieu et place d'un pénitent malade ou empêché. C'est dire que le système prôné par les Pénitentiels, en dépit de la rigueur apparente des peines, ouvrait la porte à bien des arrangements.

McBrien, Richard P.

Une note sur les indulgences

Depuis les premiers jours l'Église a imposé des pénitences sur ceux qui avaient péché après le baptême. Ce n'était pas suffisant d'être désolé pour ses péchés; ce qui enlevait seulement la culpabilité du péché. La personne devait aussi payer la pénalité du péché. Puisque le péché impliquait toujours une quelconque violation de l'Église qui est appelée à être une sainte communauté et le sacrement de la présence de Christ dans le monde, l'Église est aussi impliquée dans le processus par lequel le pécheur est réconcilié avec Dieu. Non seulement l'Église devait décider quand le pécheur était prêt à être restauré à la communion, mais l'Église priait aussi avec le pénitent alors qu'il poursuivait le chemin de la repentance. Parfois, l'Église tirait sur son propre trésor spirituel de grâce et de mérites pour annuler une partie (indulgence partiale) ou la totalité (indulgence plénière) de la punition encore due au péché d'une personne.

Les premières indulgences comme telles apparurent en France au XIème siècle. Elles étaient une rémission d'une quelconque pénitence et une rémission d'une punition temporelle due au péché. Même au 13ème siècle, les indulgences étaient perçues comme des concessions aux imparfaits, que les chrétiens plus fidèles ne devraient pas réclamer. En premier, quelques théologiens ont contesté le droit de l'évêque d'accorder des indulgences, mais à mesure que la pratique devint plus répandue, l'opposition théologique a diminué.

D'un autre côté, la pratique elle-même a changé. Alors que précédemment l'Église priait seulement pour la rémission temporelle de la punition due au péché et avait excusé une pénitence canonique sur cet acompte, maintenant l'Église déclarait définitivement qu'une telle punition temporelle était annulée sur la base du contrôle de l'Église sur le trésor de grâce et de mérites. À partir du milieu du 13ème siècle, l'octroi des indulgences devint de plus en plus divorcé du sacrement de pénitence, et de plus en plus un acte du pape. Le nombre des indulgences s'est multiplié, et le besoin de faire une oeuvre pénitentielle a décliné. Toute cause raisonnable était maintenant regardée comme des bases suffisantes pour accorder une indulgence.

Les indulgences plénières, c'est-à-dire la rémission de toutes les punitions temporelles dues au péché, sont venues en proéminence durant les Croisades du XIème siècle quand on promit aux Croisés la complète rémission de la punition en échange de leur service militaire, par le pape Urbain II, mort en 1099. Les indulgences pour les morts ont commencé à être accordées à partir du milieu du XVème siècle. Leur connexion avec les aumônes furent établies aussi tôt qu'au XIème siècle. Elles sont devenues une source de revenus qui faisait bien l'affaire de l'Église et, en tant que telle, cela se multiplia dans des proportions scandaleuses. La simonie, c'est-à-dire l'achat et la vente de biens spirituels, n'était pas inconnue. Certains prêchaient sur les indulgences d'une manière exagérée et fausse théologiquement. Le concile de Trente a condamné de telles pratiques dans son décret sur les indulgences en 1563, mais ce fut peut-être trop tard, puisque ces mêmes abus furent parmi les causes premières de la Réforme.

Équipe résurrection

On sait qu'en matière pénitentielle, la discipline ecclésiastique a été longue à se mettre en place. Aux premiers temps, le pénitent vivait à l'écart de la société jusqu'à ce qu'il ait reçu l'absolution et qu'il soit réintégré dans l'Église. À partir du VIème siècle, les pénitences furent tarifiées (à telle faute correspondait telle «peine»); les livres pénitentiels des moines irlandais se répandirent. Ces tarifs, trop rigoureux, furent adoucis par des commutations ou réductions de peines (arrea) individualisées par le confesseur.

Le trafic des indulgences

Ce qu'il y avait de légitime dans la protestation de Luther fut entendu par l'Église, Léon X reconnut que des doctrines inexactes avaient été prêchées; le Concile de Trente précisa la doctrine des indulgences pour écarter les abus auxquels elle avait prêté et Pie V excommunia, en 1569, ceux qui trafiquaient avec les indulgences.

De la pénitence publique à la confession privée

Dans l'antiquité, il paraissait inadmissible qu'un baptisé péchât de façon grave. Hé.6:4.

Cette conception a l'avantage de faire sentir au chrétien le sérieux de la Croix du Christ et de l'engagement baptismal. Mais il semble que ce rigorisme a été nuancé dès les origines. Saint Paul espérait que certains chrétiens débauchés feraient pénitence avant sa visite, 2Co.12:21. Ce double souci de rigueur et d'indulgence a conduit à l'institution de la pénitence canonique, conçue comme un nouveau baptême et qui, par conséquent, n'était accordée qu'une fois. Mais avec l'extension numérique du christianisme, l'Église diminuait en pratique les exigences vis-à-vis des candidats au baptême. Une fois baptisés, un grand nombre d'entre eux retombaient dans le péché et hésitaient à appartenir à l'ordre des pénitents (qui comportaient des renoncements considérables) avant leur mort. C'est alors que la pratique de la fréquente communion commence à baisser.

Aussi, la nouvelle pratique de la pénitence tarifiée, propagée par saint Colomban et les moines irlandais, connut un grand succès sans toutefois abolir l'ancienne manière de faire. Les chrétiens d'alors, dont le niveau moral et culturel était particulièrement bas, avaient besoin d'une discipline à la fois ferme et simple. L'Église a éduqué ces hommes en leur imposant jeûnes, aumônes et autres mortifications. Malheureusement, la tarification de cette pénitence a entraîné d'innombrables abus et l'idée d'une correspondance trop exacte entre telle faute et telle oeuvre pénitentielle.

On comprend à la longue que l'Église ait préféré la confession auriculaire qui manifestait mieux le caractère personnel de la réconciliation; c'est dans un dialogue avec le prêtre, représentant du Christ, que se rétablit la relation blessée par le péché.

McBrien, Richard F.

L'exposition la plus récente et officielle du sens des indulgences se trouvent dans la constitution apostolique Indulgentiarum Doctrina par Paul VI en 1967. Le pape relie la doctrine des indulgences avec la doctrine de la communion des saints. L'Église sur la terre est unie avec l'Église dans le ciel et dans le purgatoire.. Le trésor de l'Église n'est pas "semblable à un tas de valeur matérielle accumulée au cours des siècles" mais il est plutôt "la valeur infinie et inépuisable qu'ont l'expiation et les mérites de Christ aux yeux de Dieu..." Une indulgence, raconte le pape, est "la rémission devant Dieu de la peine temporelle due aux péchés qui ont déjà été effacés en autant que la culpabilité est concernée". Elles sont soit plénières soit partielles, et elles peuvent être appliquées aux morts. Par conséquent, cependant, les indulgences partielles seront décrites sans référence aux nombre de jours et d'années (l'approche médiévale avait été de spécifier un montant précis de temps soustrait de la sentence purgatorielle d'un individu). Il est toujours requis, bien sûr, que la personne soit vraiment contrite, soit un membre de l'Église en bonne et due forme, accomplisse une oeuvre attachée à l'indulgence, et ait au moins l'intention générale de gagner l'indulgence.

La doctrine de l'indulgence est mieux comprise dans le contexte dans tout le mystère de l'existence chrétienne. Nous sommes tous les membres du Corps de Christ. En tant que tels, nous sommes les bénéficiaires de l'oeuvre salvatrice de Christ en notre faveur. La mort n'est pas la fin de la vie, ni, par conséquent, est-elle la fin de notre relations avec les êtres aimés ou avec nos frères et nos soeurs dans l'Église. Nos obligations de préoccupation et d'assistance mutuelle ne cessent pas avec leur mort. De ce fait, le déclin de l'intérêt des indulgences est inconsistant avec les principes catholiques si ce déclin reflète une indifférence croissante par rapport à la communion des saints et / ou notre responsabilité spirituelle envers les parents et amis décédés. D'un autre côté, une approche égocentrique, calculatrice de la destinée humaine, où un individu est préoccupé surtout par l'accumulation de "crédits" spirituels, est si contraire à la bonne théologie et aux principes doctrinaux que la disparition de cette sorte d'intérêt pour les indulgences ne peut être que bienvenue.

Équipe Résurrection

Ce qui est en cause

Le péché est d'abord une rupture de la relation avec Dieu, un mépris de sa sagesse et de sa parole, un refus de le percevoir tel qu'il est. Mais le péché est aussi un désordre qui affecte l'homme lui-même et l'isole des autres et détériore ses relations avec le cosmos. La rémission des péchés que donne le Christ rétablit l'alliance avec Dieu, mais ne supprime pas magiquement le désordre. La grâce, loin de nous infantiliser, nous permet de reprendre notre place dans le plan de Dieu et de réparer les conséquences de nos péchés et de ceux de l'humanité. Par suite, nous devons faire pénitence, même après l'absolution sacramentelle, pénitence pour nous-mêmes, pénitence pour tous nos frères en l'humanité, pénitence pour les défunts qui attendent l'ultime purification avant de paraître devant Dieu et que nous devons aider dans la communion des saints. Ainsi se tissent des liens invisibles entre tous les disciples du Christ en marchant vers la Jérusalem céleste.

Mais cette pénitence prend une valeur spéciale de ce qu'elle nous est prescrite par l'Église. Les apôtres ont reçu du Christ le pouvoir de «lier» et «délier». Par conséquent la réparation que nous devons pour nos péchés et ceux des autres est remise à son appréciation maternelle. C'est elle qui nous propose tel geste de piété (auquel elle attache une importance particulière) comme un moyen de racheter tout ou en partie des désordres commis par nous en un moment donné, avec la possibilité d'en faire profiter aussi ceux que nous aimons et l'humanité entière.

Depuis 1967, le comput en jours et années a disparu. C'est heureux, car il était lié à la tarification, depuis longtemps tombée en désuétude, des anciens pénitentiels.

L'indulgence plénière suppose toujours la confession sacramentelle, la communion eucharistique et la prière pour le Souverain Pontife.

Vécue en Église, liée à la communion des saints, la pratique des indulgences reste un moyen éminent de progresser dans la vie chrétienne.

Houston Chronicle, nov.28, 1998

Le Pape Jean Paul II a annoncé vendredi que pendant la célébration du millénium, les pénitents qui faisaient un acte charitable ou abandonnaient les cigarettes ou l'alcool pour une journée pouvaient gagner une indulgence qui va éliminer du temps au purgatoire.

Le pape a dit que des pécheurs se feraient octroyer des indulgences plénières, un plein pardon des péchés à l'opposé du raccourcissement du temps passé au purgatoire... Il inclut des actes personnels de pénitence ou de charité locale comme une manière de gagner des indulgences.

Pendant cette période, les croyants se verront offerts une plus vaste sélection de manières pour recevoir une indulgence plénière. Ils peuvent suivre la tradition et assister à une Messe dans l'une des nombreuses églises désignées et accomplir des dévotions telles le rosaire ou les stations de la croix. Ou bien, expliqué dans un appendice de la lettre du pape, ils peuvent visiter les malades, les prisonniers, ou les handicapés, ou donner aux pauvres. Ou ils peuvent choisir un acte de sacrifice privé... Ceci inclurait l'abstention pour au moins une journée la consommation superflue (par exemple, fumer, boire de l'alcool ou en jeûnant).

Deaton, S.F.

Ne serait-ce pas plaisant? Ne serait-ce pas fantastique si nous pouvions recevoir "un plein pardon pour nos péchés" en allant simplement visiter quelqu'un en prison ou à l'hôpital, ou ... imaginez ceci frères et soeurs chrétiens... si nous pouvions abandonner notre pratique pécheresse de boire de l'alcool pour seulement une journée!!! Wow! Pensez-y. Ceci signifie que nous pourrions éviter les instructions douloureuses données par le JEAN INSPIRÉ quand il dit: "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice." 1Jn.1:9. Aussi, on pourrait ignorer l'admonition de Jacques de "confesser vos transgressions les uns aux autres, et prier les uns pour les autres afin d'être guéris" Ja.5:16. "Car c'est ici l'amour de Dieu, que nous gardions ses commandements et ses commandements ne sont pas lourds." 1Jn.5:3.

S'il vous plaît, ne me comprenez pas de travers, nous sommes en faveur des bonnes oeuvres, Mt.25:31-46. Nous sommes en faveur que les gens abandonnent leurs péchés, mais pour plus qu'un jour, Col.3:5-10. Cependant, quand vous lisez la Bible d'un couvert à l'autre, vous ne lirez jamais au sujet d'une chose appelée "indulgence". C'est purement une tradition humaine, établie par l'autorité humaine, non par le Dieu du ciel, Mt.15:1-9, cp. Ac.8:18-24, 1Jn.1:10, Ja.5:16).






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