Prévention contre l'avortement
Quelle tragédie que l'avortement ! Quelles terribles conséquences dans la vie d'une femme qui a été créée dans le plus profond de son être pour être mère et qui est poussée à aller contre sa nature !
Quand un avortement se produit, cela me fait penser au péché de David avec Batshéba. Même s'il n'est pas question d'avortement dans ce cas, l'infernale spirale descendante du péché a mené au même résultat: Un péché grave (le sexe en dehors du mariage) en a entraîné un autre encore plus grave (le meurtre).
Quand un bébé est conçu par des parents qui ne le désirent pas, il n'y a plus de bonnes solutions, il n'en existe que des passables et des mauvaises. C'est pourquoi il importe de parler de prévention, même si ça sera souvent comme prêcher dans le désert tellement il y a de voix contraires qui s'élèvent.
Une internaute m'a partagé sa rencontre avec une femme enceinte, celle-ci s'est fait avorter en essayant de se convaincre qu'elle n'avait pas le choix. Elle lui a dit aussi avoir demandé pardon à Dieu pour ce qu'elle avait fait, dans ses larmes elle disait : «qui suis-je pour décider de la vie ou de la mort de quelqu'un?»
Les jeunes chrétiens ont besoin de se faire enseigner sur la pureté devant Dieu, non pas comme une plaie d'Égypte mais comme une protection divine pour leur âme comme de potentielles terribles conséquences. Tous les médias montrent à satiété des exemples d'aventure sexuelle hors mariage, c'est tellement banalisé, on doit absolument contrebalancer cela autant qu'on peut, le faire remarquer aux jeunes et revenir sur le sujet souvent parce qu'un litre d'eau souillée fait vite disparaître une goutte d'eau pure ! Mille exemples d'impudicité efface rapidement de la mémoire un exemple de pureté.
Une protection concrète c'est le chaperonnage. Dans notre église, notre groupe de jeunes se désignent des chaperons quand des jeunes commencent à se fréquenter pour éviter que la passion l'emporte sur la raison. Ma fille a justement servi de chaperon pour un jeune couple qui s'est marié l'an passé. Ainsi, quand la fréquentation se termine parce que les parties concernées ne voient pas d'avenir ensemble, ils n'ont pas de séquelles spirituelles et psychologiques à traîner comme des boulets. Ils ont gardé leur dignité et leur conscience est en paix, mais surtout la jeune femme ne risque pas de se retrouver devant deux alternatives pénibles, soit de se faire avorter et soit d'élever son enfant seule.
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