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Démission de la raison

Francis A. Schaeffer

Nous avons le privilège de pouvoir vous offrir la version intégrale du livre de Francis A. Schaeffer "Démission de la raison". Nous remercions chaleureusement l'éditeur, La Maison de la Bible, de nous avoir donné cette autorisation. Vous pouvez commander cet ouvrage à cmd@bible.ch ou voir le catalogue à http://www.bible.ch

Titre de l'original : Escape from reason © Intervarsity Press, Londres, 1968
© La Maison de la Bible, Genève 1971
Traduction revue : Pierre Berthoud, 5e édition, 1993

Chapitre 4

 

Le Saut

Après la "ligne du désespoir", nous arrivons à Kierkegaard et au "saut" 1. Avec Kant, comme nous l'avons noté, la ligne tracée entre la nature et les universaux s'est considérablement renforcée. Avec le "saut" de Kierkegaard, tout espoir de découvrir une quelconque unité est abandonné. Le schéma, avec Kierkegaard, devient :

l'optimisme doit être non-rationnel
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tout ce qui est rationnel = pessimisme

L'espoir d'un quelconque lien entre les deux mondes s'est évanoui. Il n'y a aucune communication, aucun échange entre le "niveau supérieur" et le "niveau inférieur", mais une totale dichotomie. La ligne séparatrice est devenue un énorme mur, parfaitement infranchissable.

Sous la "ligne", il y a donc le rationnel et le logique ; au-dessus, ce qui ne l'est pas. Entre les deux, pas la moindre relation. En d'autres termes, au "niveau inférieur" où tout est rationnel, l'homme en tant qu'homme est mort. Seuls existent les mathématiques, le particulier et ce qui est quantifiable. L'homme, quant à lui, ignore qui il est, n'a ni but, ni raison d'être. Le pessimisme lui colle à la peau. Pourtant, par un "saut" irrationnel au "niveau supérieur", il découvre une foi non-rationnelle qui rend optimiste. Telle est la dichotomie totale de l'homme moderne !

Cette dichotomie est plus difficile à percevoir et à comprendre pour ceux de nos contemporains issus de famille chrétienne ou appartenant à la classe moyenne que pour les habitués de la rive gauche à Paris, ou de l'Université de Londres. Influencés par leur milieu, les premiers estiment que la dichotomie n'est sûrement pas totale et qu'un échange est possible entre les deux mondes; cette conception est formellement contredite par l'homme moderne, même si on a l'illusion du contraire.

Du point de vue rationnel, l'homme est dépourvu de signification; c'est en cela qu'il est "mort". Il ne s'agit pas, là, de la mort qui termine l'existence, mais d'un état permanent que l'homme ignore, ce qui l'empêche d'en prendre conscience.

 

L'existentialisme athée

A partir de Kierkegaard, deux courants de pensée se dessinent, d'une part, l'existentialisme athée et, d'autre part, l'existentialisme religieux. L'existentialisme athée a pour chefs de file Jean-Paul Sartre (l905 – 1980) et Albert Camus (1913 – 1960) en France, Karl Jaspers (1883 – 1969) en Suisse, et Martin Heidegger (1889 – 1976) en Allemagne.

Pour Sartre, d'abord, en toute logique, l'univers est absurde et chaque humain doit chercher à s'accomplir (s'authentifier). Comment ? Par un acte délibéré. Si, alors que vous êtes en voiture, vous voyez quelqu'un marcher sous une pluie battante, vous vous arrêtez pour lui faire faire un bout de chemin, c'est un acte absurde en soi. Le piéton n'est rien, la situation est sans importance; en revanche, vous, vous avez acquis une identité grâce à cet acte volontaire. Malheureusement, ce résultat n'a rien de rationnel, la nature de l'acte accompli est indifférente. Dans l'exemple choisi, si vous aviez accéléré et renversé le piéton au lieu de lui proposer vos services, le résultat aurait été le même pour vous. Comment ne pas se désoler devant la situation si désespérée de l'homme moderne ?

Jaspers ensuite, qui au fond est un psychologue, parle d'une "expérience finale", c'est-à-dire d'une expérience si extraordinaire qu'elle vous donne la certitude d'exister vraiment et suscite en vous l'espoir que la vie a un sens alors que la raison ne vous en permet aucun. Malheureusement, la nature de cette "expérience finale" est tellement irrationnelle que son contenu est incommunicable, aussi bien aux autres qu'à soi-même. Je connais un étudiant de l'Université libre d'Amsterdam qui a voulu vivre cela. Lors d'une promenade en forêt, il a fait une expérience si intense, en traversant une clairière, qu'il pensa qu'elle donnait un sens à sa vie. Lorsque je l'ai rencontré, deux ans plus tard, il était au bord du suicide. Comment pourrait-il en être autrement lorsqu'on espère trouver sa raison d'être dans une expérience dont on ne peut rien dire si ce n'est qu'elle a eu lieu ! Le souvenir qu'on en a, encore vif le lendemain, ne peut que s'estomper au fil du temps. Y a-t-il rien de plus désespérant ?

De plus, il est impossible de se préparer à faire une telle expérience. Rien ne permet de la prévoir; elle appartient au "niveau supérieur" et survient à l'improviste.

Il y a, enfin, ce que Heidegger appelle Angst, l'angoisse. L'angoisse n'est pas simplement la peur, car la peur a un objet. Cette angoisse est un vague sentiment d'appréhension semblable à celui qu'on éprouve en entrant dans une maison qui pourrait être hantée. Pour Heidegger, tout dépend de cette angoisse fondamentale. Peu importe, par conséquent, en quels termes s'exprime le "niveau supérieur". Son système repose sur le "saut" : un espoir qui n'a aucun lien avec le "niveau inférieur" du rationnel.

De nos jours, il n'existe presque plus de "philosophies" au sens classique du terme ; il n'y a plus que des anti-philosophies. Personne ne s'attend plus à recevoir de réponses rationnelles aux grandes questions. C'est le cas des philosophes linguistes du monde anglo-saxon qui ont réduit la philosophie à une sphère bien délimitée. Ils s'intéressent à la définition des mots et leurs recherches se situent uniquement au "niveau inférieur". Les existentialistes quant à eux ont une conception plus classique de la philosophie, en ce qu'ils se soucient des grandes questions, mais sans mettre en cause la rupture, la dichotomie, entre la raison et l'espoir.

C'est cette dichotomie qui est typique de l'homme moderne, et non la variété de concepts, religieux ou non, selon lesquels le "saut" de la foi conduit au "niveau supérieur". Le moderne se distingue radicalement à la fois de l'homme de la Renaissance qui, en humaniste, espère découvrir l'unité du champ de la connaissance, et de l'homme de la Réforme qui l'a réellement trouvée : unité rationnelle entre les deux "niveaux" (supérieur et inférieur) fondée sur le contenu de la révélation biblique.

 

L'existentialisme religieux

La situation est la même dans la perspective de Karl Barth et des diverses théologies qui en découlent : pas d'intersection rationnelle entre les deux "niveaux". Jusqu'au jour de sa mort, Barth est resté partisan de la haute critique; la Bible contient des erreurs, mais cela n'empêche pas de la croire, elle véhicule "une parole religieuse", car la "vérité religieuse" est distincte de la vérité historique de l'Ecriture. Ainsi pas de place pour la raison, aucun moyen de vérification : c'est là le "saut" en termes religieux. Thomas d'Aquin a préparé l'avènement d'un homme à l'intelligence "autonome" au "niveau inférieur" ainsi qu'à une théologie naturelle et une philosophie affranchies de l'autorité de l'Ecriture. En poursuivant cette démarche, la pensée séculière s'est vue contrainte de placer son espoir dans l'irrationnel. De même, dans la théologie néo-orthodoxe, le "saut" est nécessaire, car il est exclu de chercher Dieu en faisant usage de sa raison. Pour cette théologie, l'homme est dans une condition inférieure à celle de l'homme déchu tel que le dépeint la Bible. Pour la Réforme et pour la Bible, l'homme ne peut rien faire pour assurer lui-même son salut, mais il peut et même il doit, avec sa raison, sonder l'Ecriture qui lui parle, non seulement de la "vérité religieuse", mais aussi de l'histoire de l'humanité et de l'univers.

Tel est le trait distinctif de cette irrationalité : admettre que ce que la Bible enseigne en matière religieuse et spirituelle est exact et qu'à l'inverse, elle peut se tromper dans le domaine de ce qui est vérifiable. A cet égard, les tenants d'un langage théologique radical ou plus classique sont d'accord pour dissocier totalement la foi et la raison. C'est là la version religieuse de la mentalité qui prévaut aujourd'hui.

Le vocabulaire utilisé au "niveau supérieur" n'affecte en rien le système, qui s'accommode aussi bien d'expression religieuse que séculière. Ce qu'il faut remarquer et qui est général, c'est l'accent kierkegaardien placé sur la nécessité du "saut" puisqu'aucune communication n'existe entre le rationnel et le logique d'une part, et l'irrationnel et l'illogique, d'autre part. La foi, exprimée en termes religieux ou non, est ainsi un "saut" irrationnel et indéfinissable. On comprend mieux pourquoi les erreurs de la Bible en matière de science et d'histoire n'ont aucune importance pour la théologie nouvelle.

Le "saut" est le propre de la pensée moderne en tous domaines. Il est l'expression du désespoir de l'homme qui ne peut se résoudre à la seule condition de robot. C'est ce que traduisent la peinture, la musique, le roman, le théâtre, ou la religion modernes.

 

La théologie nouvelle

Pour la néo-orthodoxie, issue de la théologie libérale classique, très fortement rationaliste, les mots susceptibles d'une définition rationnelle se situent au "niveau inférieur" tandis que ceux qui ne le sont pas se situent au-dessus de "la ligne". Ce sont ces derniers termes qui occupent toute l'attention de ces nouveaux théologiens. Quand, par exemple, P. Tillich parle de "Dieu au-delà de Dieu", le premier terme "Dieu" est indéfinissable.

Le non-rationnel – connotations 2
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le rationnel – définitions

La néo-orthodoxie a un avantage sur l'existentialisme et les mysticismes séculiers, car elle fait usage de mots à forte connotation parce qu'ils sont ancrés dans la mémoire collective : "résurrection", "crucifixion", "Christ", "Jésus". Ces termes donnent l'illusion de la communication, et suscitent chez ceux qui les entendent une réaction positive, d'où leur importance. Il en est ainsi, par exemple, pour le mot "Jésus" qui n'est jamais défini. L'emploi de ces termes intervient toujours dans le domaine de l'irrationnel et du non-logique. Etant déconnectés de l'histoire et du cosmos, ils ne peuvent être soumis à aucune vérification rationnelle de sens et il est impossible d'être assuré qu'ils ont même une signification. Rien n'est plus désespérant. L'emploi de vocables religieux n'y change rien.

 

Expériences au "niveau supérieur"

L'homme créé à l'image de Dieu ne peut pas vivre comme s'il n'était rien; aussi s'invente-t-il des valeurs illusoires pour échapper au désespoir de sa condition. Comme nous l'avons vu, ces valeurs sont très variées : il y a "l'expérience existentielle" de Sartre, "l'expérience finale" de Jaspers et ce que Heidegger appelle Angst, l'angoisse. Dans chaque cas, l'homme, du point de vue rationnel et logique, est mort.

Aldous Huxley (1894 – 1963) a beaucoup contribué au développement de cette mentalité. Il parle d'une "expérience de premier ordre" pour laquelle il conseille l'usage de la drogue. Ayant travaillé, dans les années 60, avec de nombreuses personnes fort intelligentes s'adonnant au LSD, je puis affirmer que la plupart d'entre elles reconnaissaient avoir été influencées par cet enseignement de Huxley.

On prend de la drogue pour faire une expérience d'ordre mystique dans laquelle la raison n'a aucune part, car au "niveau inférieur" – celui du rationnel, de la nature – la vie n'a aucun sens. Jaspers, comme nous l'avons vu, prétend que cette expérience est imprévisible. Huxley, quant à lui, a l'espoir que la drogue peut la provoquer. Aussi beaucoup estimant, avec Timothy Leary (1922), que notre culture n'est qu'une caricature, s'adonnent, eux aussi, à la drogue.

Le succès actuel de la drogue est dû, non à un besoin d'évasion ou de fantaisie, mais à la désespérance de l'homme, pour qui la vie est dépourvue de toute rationalité et la culture perd peu à peu toute signification. L'être humain recherche donc une réponse à ses questions dans une "expérience de premier ordre", qui déborde largement l'usage de la drogue des années 60 et s'inscrit en continuité avec mille ans de panthéisme ; depuis des siècles, en effet, les mystiques orientaux doivent au haschisch d'atteindre le sommet de leur expérience religieuse. Cette démarche n'est donc nouvelle que pour nous, les occidentaux. Dans l'ouvrage intitulé Structure de l'humanisme3, dont il a écrit le dernier chapitre, Aldous Huxley préconise encore, à la veille même de sa mort, un tel usage de la drogue.

 

L'humanisme évolutionniste optimiste, système philosophique conçu par Julian Huxley (l887 – 1975), illustre parfaitement ce fait : une fois admise la séparation entre les deux "niveaux", tout et son contraire sont acceptables pour donner sens à la vie. Le rationnel est évacué; l'espoir est lié au "saut" vers la ma(g)nana (ou mañana) : tout est promis pour le lendemain ! Cet optimisme est un "saut" et rien n'est plus fou que de croire, comme on le fait dans nos Universités, que celui-ci est raisonnablement fondé. En fait, il est totalement irrationnel. Julian Huxley lui-même l'admet en pratique, puisqu'il pose comme principe que les hommes vivent mieux s'ils croient qu'il y a un dieu, alors qu'il n'en existe point. En d'autres termes, pour lui, cette foi en dieu joue le même rôle que la drogue pour Aldous Huxley. Aussi est-il donc tout à fait fidèle à lui-même en écrivant la préface du Phénomène humain4 de Teilhard de Chardin qui, lui aussi, admet la rupture entre les deux "niveaux" de la connaissance. L'usage de termes religieux ou profanes importe peu ; il n'y a pas de différence essentielle dans les deux discours, même si certaines propositions nous heurtent plus que d'autres.

Dans une émission de la BBC, Anthony Flew a posé la question suivante : "Est-ce que la moralité paye ?", et il a utilisé les ondes pour montrer, à partir de ses propres présuppositions, que la morale ne paye pas. Pourtant, à la fin, il a fait preuve d'une totale inconséquence en affirmant, sans dire pourquoi et sans définir le mot, que faire preuve de "scrupule" n'était pas absurde. Ici encore, le "saut" est énorme !

Le rationaliste et l'humaniste commencent par reprocher au christianisme de n'être pas assez rationnel. Puis, après tout un périple, ils finissent par sombrer dans le mysticisme, mais celui-ci est d'un genre spécial puisqu'il s'agit d'un mysticisme sans la présence d'un vis-à-vis. Les anciens mystiques ont toujours affirmé qu'il y en avait une, tandis que les nouveaux n'y attachent aucune importance car, pour eux, seule la "foi" compte. lls ont foi en la foi, qu'elle soit profane ou religieuse. Seul, le "saut" importe, pas sa formulation. Les formulations, c'est-à-dire les systèmes de symboles auxquels on recourt, peuvent, en effet, varier; qu'ils soient religieux ou non, les termes ont une importance tout à fait secondaire. L'homme moderne est donc condamné à trouver la réponse à ses questions en rompant, par un "saut", avec le monde rationnel et en refusant à sa raison toute possibilité de contrôle.

La linguistique : un autre aspect du "saut"

Il y a quelques années, j'ai dirigé des débats dans une Université britannique bien connue pour l'opposition au christianisme de ses professeurs de philosophie du langage. Certains d'entre eux étaient présents. Peu à peu, leur position s'est éclairée. Leur prestige académique était dû à leurs travaux relatifs aux définitions rationnelles des mots, c'est-à-dire à des travaux situés sous "la ligne". Mais, pour attaquer le christianisme, forts de leur prestige, ils ont franchi celle-ci en faisant le "saut" de l'humanisme optimiste qui n'a absolument aucun rapport avec la démarche rationnelle de la linguistique. L'analyse linguistique est une anti-philosophie, comme nous l'avons déjà remarqué, car elle limite les concepts philosophiques auxquels elle recourt. Elle ne se pose pas les problèmes fondamentaux que les philosophes classiques ont constamment cherché à résoudre. Aussi, sur les sujets sans rapport avec leur discipline particulière, les linguistes ne peuvent-ils se prévaloir de leur prestige académique.

De nos jours, il est intéressant de remarquer qu'en même temps que l'existentialisme et, d'une autre manière, "la philosophie analytique" devenaient des anti-philosophies, les grands problèmes humains ont cessé d'être traités par les titulaires de chaires de philosophie, pour l'être par les romanciers, les producteurs de films, les musiciens de jazz et même par les mouvements de jeunes prônant l'opposition violente. Tels sont ceux qui, de nos jours, formulent et affrontent les grandes questions.

1 Le "saut" est le passage brusque d'un état à un autre (la nature ne fait pas de saut). (Retour au texte)

2 Connotation : propriété d'un terme qui peut, en même temps, désigner un objet et évoquer certains de ses attributs. (Retour au texte)

3 The Humanist Frame (Structure de l'humanisme), Allen & Unwin, Londres 1961. (Retour au texte). The Humanist Frame (Structure de l'humanisme), Allen & Unwin, Londres 1961. (Retour au texte).

4 Editions du Cerf, 1955   (Retour au texte) Editions du Cerf, 1955   (Retour au texte)



 





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