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Hommes de cette génération, considérez la parole de l'Eternel! Jérémie 2:31
Heureux ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent! Luc 11:28


Inspiration verbale des Écritures

- Arnold Fruchtenbaum

Il y a 13 points spécifiques sur ce qu’est l’inspiration verbale, et je vous donne un passage des Écritures pour appuyer chacun de ces points.

Toutes les Écritures sont le souffle de Dieu selon 2 Tim 3.16
C’est la Parole de Dieu aux hommes selon Jean 10.35
Elle est infaillible selon Psaume 19.7
Elle est sans erreur selon Proverbes 30.5-6
Elle est la vérité dans son orthographe originale et non dans les traductions selon 2 Pierre 1.21
L’inspiration divine est absolue Rom 15.4
L’inspiration divine est verbale Matthieu 4.4
L’inspiration divine est concluante 2 Samuel 23.2
En tant que mots propres de Dieu, ils possèdent la propriété d’autorité Ésaïe 1.2
Elle est suffisante pour sauver les pécheurs 2 Tim 3.15


Il y a assez de clarté pour la compréhension  Psaume 119.105
Elle a l’efficacité de juger les pécheurs Héb 4.12
Le but principal des Écritures est de confesser Christ Luc 24.44

Je tiens à souligner comment l’histoire a forcé la nécessité de la progression pour rendre claire que la Bible est inspirée.

Il y avait un temps où nous pouvions juste dire « Je crois à l’inspiration des Écritures » et tout le monde savait ce que vous vouliez dire et c’était suffisant parce qu’il n’y avait pas de variation dans ce que cette expression voulait dire. Mais un des moyens sataniques pour détruire la foi dans les Écritures est d’utiliser les mêmes terminologies pour ensuite leur donner une définition différente.  Donc, aujourd’hui, quand quelqu’un dit croire que les Écritures sont inspirées, ça ne veut pas nécessairement dire la même chose que quand quelqu’un le disait il y a 100 ans.

Donc, il y a une progression qui est nécessaire pour faire ressortir que d’un mot à l’autre, éventuellement à cause d’influences sataniques, les morales et les religions ont commencé à tirer une nuance différente de la définition.  Et la progression jusqu’à nos jours a parcouru 6 étapes.

La Bible est la Parole de Dieu.  C’était suffisant à un certain point de l’histoire. Mais à cause des démentis par ceux qui affirmaient que la Bible n’est pas la Parole de Dieu, est venue la deuxième étape où il était nécessaire de dire que la Bible est inspirée et cela était suffisant après un certain temps.

Puis, il y avait ceux qui disaient que la Bible était inspirée, mais pas entièrement.  Alors est venue la troisième étape où il était nécessaire de dire que la Bible est d’inspiration absolue.  Ceci était suffisant pour un bout de temps, mais ensuite vinrent les dénégations que les Écritures étaient d’une inspiration absolue.

Ils  démentaient que cela incluait chaque mot, alors vint la quatrième étape de l’histoire, soit que la Bible était verbalement inspirée.  Et cela était suffisant pour un bout de temps.  Mais il y avait ceux qui disaient qu’ils croyaient en l’inspiration verbale, mais, que la Bible était quand même faillible.

Donc, la cinquième étape dans l’histoire était une nécessité  pour faire ressortir que la Bible est infaillible.  Mais ces définitions ont été corrompues et nous sommes donc maintenant dans la sixième étape dans l’histoire où nous devons insister sur l’in errance aussi.  En tordant les mots, ils disent croire que la Bible est infaillible, mais contient quand même des erreurs.  Notre bataille majeure est maintenant  sur l’in errance des Écritures.

 Ce sont là les six étapes et maintenant, pour rendre le point  très clair, il nous faut dire  que la Bible est la Parole de Dieu, inspirée de Dieu, d’absolue inspiration, d’absolue inspiration verbale, infaillible et in errante ou sans erreur.  C’est la façon dont les choses se sont développées.

La relation entre la révélation et l’inspiration

 Théologiquement, comment faisons-nous la différence entre la révélation et l’inspiration ?  Mentionnons 5 choses.

Il y a une distinction par la définition.  Par révélation, est concerné ce qui est communiqué, la réception de la vérité.  Alors que l’inspiration concerne l’enregistrement des mots (paroles) qui ont été communiqués, l’enregistrement de la vérité.

La révélation concerne la réception de la vérité, comment elle en est arrivée à être révélée, mais l’inspiration concerne son enregistrement d’une manière infaillible et in errante.

Il y une distinction quant à l’objet.   L’objet de la révélation est la communication de connaissance.  Mais l’objet de l’inspiration est de sécuriser l’infaillibilité dans l’enseignement.

La distinction dans leur effet.  L’action de la révélation est de rendre celui qui la reçoit, plus sage.  Parce que la révélation traite de la vérité non dévoilée jusqu’à ce jour, celui qui la reçoit augmente son savoir et devient plus sage.

L’inspiration, elle, a comme effet de préserver l’écrivain de l’erreur dans l’enseignement.  Elle s’assure que ce que l’écrivain enregistre de la révélation est sans erreur.

Quatrièmement, il y a une distinction quant au temps.  La révélation précède l’inspiration.  La révélation de ce qui n’avait pas été dévoilé vient en premier, avant son enregistrement, donc, la révélation précède l’inspiration et l’inspiration suit la révélation.

La révélation et l’inspiration peuvent arriver ensemble ou séparément.

Par exemple, il y a la révélation sans l’inspiration.  Un bon exemple de ça est Apocalypse 10.3-4 où les sept tonnerres firent entendre leurs voix et alors l’apôtre Jean reçut une révélation concernant exactement ce que ces sept tonnerres criaient, il le comprit et il lui fut dévoilé quelque chose.  Mais quand Jean commença à mettre par écrit ce que les sept tonnerres avaient dit, il lui fut interdit de le faire.  Ici, vous avez un exemple de révélation sans inspiration.  Quelque chose fut révélé à Jean, mais n’a pas été inspiré pour l’écrire.  Donc nous ne savons pas ce que ces sept tonnerres ont crié.  Révélation sans inspiration.

Il est aussi possible d’avoir l’inspiration sans la révélation.  L’exemple ici serait Luc 1.1-3 où Luc dit comment il en est venu à écrire son Évangile.  Contrairement à Matthieu et Jean, alors que la plupart de l’Évangile leur est venu par voie de révélation, dans le cas de Luc, il n’a reçu aucune révélation directe de Dieu.  Il a acquis ses informations par la recherche d’Écritures existantes et par l’interrogation de témoins oculaires.   Vous avez donc ici un cas d’inspiration sans révélation.  Néanmoins, vous avez l’inspiration, parce que, ce que Luc a finalement mis ensemble dans son Évangile,  était absolument inspiré verbalement de Dieu et il a donc écrit un enregistrement infaillible et in errant.  Alors, dans le cas de Luc, vous avez l’inspiration sans la révélation.

Troisièmement, vous avez la révélation et l’inspiration ensemble.  Un bon exemple de ça est Apocalypse 1.11 et 19 où des choses sont révélées à Jean et suivant la révélation, il lui est dit de le mettre par écrit.  La révélation  était ce qui était dévoilé à Jean et l’inspiration était ce qu’il a écrit de ce qu’il a vu.

Ceci termine la troisième section majeure de notre étude concernant l’inspiration des Écritures.

 Nous passons maintenant à la quatrième division majeure de notre étude qui concerne la canonicité et l’autorité.  Comment certains livres se retrouvent dans le canon et leur autorité et comment reconnaissons-nous qu’ils ont une autorité divine ?

 Nous allons étudier le sujet dans 6 domaines spécifiques.  En 6 subdivisions majeures.

A :  Définition

 Pour clairement comprendre le sujet, nous allons définir quatre termes.  L’authenticité, la crédibilité, la canonicité et l’autorité.

L’authenticité.  L’authenticité veut dire que ces livres ont été écrits à l’époque qu’ils revendiquent l’avoir  été et par les hommes dont ils (les livres) revendiquent l’avoir été.  L’authenticité est le contraire d’apocryphe et de contrefaçon.  Donc, si un livre revendique avoir été écrit par Moïse ou par Paul,  l’authenticité veut dire que ces livres ont vraiment été écrits par Moïse ou par Paul et non par un autre auteur qui revendique ce nom.  La même chose pour ce qui est de la période à laquelle il revendique avoir été écrit.

La crédibilité.  La crédibilité relate véritablement le sujet dont il traite.  En d’autres mots, crédibilité veut dire que ces livres rassemblent correctement ce qu’ils essaient de rassembler. Que ce qu’ils disent être vrai est vrai !  Et inclus dans le domaine de la crédibilité, est la pureté du texte.  Donc, la crédibilité s’applique à deux aspects.

Que nous avons un texte fondamentalement pur ! Que ce qu’il affirme être vrai est réellement vrai !

Et « crédibilité » est l’opposé de corrompu.  Donc, là où le texte varie de l’original, ces variations seraient considérées comme corrompues.  Comment déterminons-nous quels écrits sont corrects ou incorrects ?  Nous le traiterons plus tard dans la Bibliologie.

3.  La canonicité.  La racine du mot canon vient du mot Hébreu « kanah » et du      mot grec « kanon » et sa définition est  « une règle », « une norme ».  Dans sa      forme originale, le mot grec Kanon est utilisé 5 fois dans le NT :  2 Cor 10.13, 15 et      16 ; Gal 6.16 et Phil 3.16.  Dans aucune des ces places le mot kanon n’est utilisé      pour les Écritures.  La première fois que ce mot a été utilisé pour les Écritures, est      par Athénas (Athenasious en anglais) en l’an 350 AD.

     Fondamentalement, quand nous parlons de canonicité aujourd’hui, nous parlons      de la qualité du caractère des Écritures par laquelle elles sont notre règle de foi et      de vie en tant que l’infaillible et in errante Parole de Dieu.  Cela veut dire que      qu’une chose est canonisable, qu’elle rencontre les normes.  Elle est à la hauteur des règles de canonicité.  Et c’est là le caractère des Écritures.  Elles se montrent à la hauteur comme étant divinement inspirées par Dieu, donc, en retour elles deviennent notre règle.  Canonique est l’opposé de non canonique.

 4.  L’autorité.  Ce qui veut dire que la Bible dans son entier est la voix de Dieu parlant       aux hommes et si cela est vrai, l’autorité des Écritures est donc in errante.  

Les fondements de base

Quels sont les fondements de base de la canonicité et de l’autorité ?  Trois choses devraient être notées.

La Bible se certifie par elle-même.  Cela signifie que les livres de la Bible ne sont pas devenus canoniques à cause de quelques Conciles Juifs ici ou de Conciles de l’Église là.  Aucun Concile, Juif ou de l’Église ne pouvait, par aucune autorité, déclarer tel ou tel livre comme étant canonique ou tel autre non canonique.  Parce que, peu importe le livre produit par l’inspiration de Dieu, que Dieu a soufflé, il est automatiquement canonique.  Les conciles ont tout simplement reconnu l’autorité qui était in errante dans ces livres.  Tout ce que les conciles pouvaient faire était de reconnaître que tel ou tel livre est la Parole  de Dieu.  Ils le font en le comparant à d’autres.

Un deuxième fondement de base est que Dieu guida les Conciles Juifs et les Conciles de l’Église de sorte que le canon soit reconnu.  C’est ici un second fondement clé.  Dieu les guida pour qu’ils puissent reconnaître quels étaient les livres que Dieu avait réellement inspirés.

Donc, canonicité n’est pas pareille à la reconnaissance par l’Église.  L’Église ne faisait que reconnaître l’autorité in errante dans ces livres, mais ne lui donnait pas son autorité.  Un livre ne devenait pas autorité parce que l’Église ou parce que les conciles Juifs le déclaraient, mais parce qu’il était la Parole de Dieu et seulement reconnu comme tel.

La reconnaissance par les conciles de l’Église et Juifs, a pris du temps.  Mais la canonicité elle-même était déjà présente.

Le troisième fondement de base est la formation du canon.  Nous devons faire la distinction entre la canonicité d’un livre et la formation du canon en lui-même.  La canonicité d’un livre était le moment où ce livre était terminé.  Au moment même où il était terminé, parce que c’était le souffle de Dieu, parce qu’il était inspiré de Dieu, il était canonique.  Donc, les livres étaient canoniques à mesure qu’ils étaient écrits.  Quant à rentrer de ce livre dans la formation du canon, disons que le canon était formé à mesure que les livres étaient reconnus par les conciles Juifs et de l’Église comme étant la Parole de Dieu.  Donc, canonicité à mesure qu’ils étaient écrits, formation à mesure qu’ils étaient reconnus canoniques.  

 Ceci nous amène à la troisième section majeure de la canonicité et de l’autorité et c’est :  Le test de canonicité.  Quel examen doit-on appliquer pour voir si tel ou tel livre est à la hauteur des normes absolues ?

 Différents examens vont s’appliquer avant qu’un livre de l’AT ne puisse côtoyer un livre du NT.  Les Conciles Juifs décidaient si un livre était canonique ou non en se basant sur l’autorité de l’écrivain.  C’était basé sur l’autorité de celui qui donnait la loi, le prophète ou le dirigeant d’Israël.  L’autorité du dispensateur de la loi tel que Moïse.  Donc les livres de Moïse étaient acceptés. À cause de l’autorité d’un prophète tel que Ésaïe, Jérémie, les livres prophétiques furent acceptés.  À cause de dirigeants comme David et Salomon, leurs livres furent acceptés.

 Dans le Talmud, il y a une section qui s’appelle BABA, BATHRA, dans la section 14b, elle décrit ce Kanah, ces normes utilisées pour vérifier la canonicité d’un livre de l’AT.  Il y avait deux tests de base.

Était-ce attribué à un prophète ?  Si la réponse était oui, c’était le test numéro 1.

C’était basé sur une chaîne ininterrompue de prophètes, de Moïse à Malachie. Il était reconnu par les Conciles Juifs que les prophéties avaient cessé avec Malachie.  Donc, les livres se réclamant être écrits par un prophète à l’intérieur de la chaîne ininterrompue de prophètes de Moïse à Malachie étaient acceptables.

Dans le NT, la canonicité suivait quatre examens fondamentaux.

Le test apostolique.   Était-ce « écrit » par ou « appuyé » par un apôtre.  Matthieu, Jean, Paul, Jacques, Pierre, étaient tous des apôtres.  Alors, ce qu’ils ont écrit vint de l’autorité apostolique et fut donc reconnu comme inspiré.  Marc était appuyé par l’apôtre Pierre.  Luc était appuyé par l’apôtre Paul.  Jude était appuyé par les apôtres Jacques et Pierre.  Donc, les 27 livres passent tous le test apostolique.

Le second test concerne son contenu.  Le contenu était-il d’un caractère hautement spirituel  lui permettant de lui accorder ce rang de canonique ?  Et les 27 livres ont tous passé ce test.

Le troisième test est l’universalité.  Était-ce accepté universellement par l’Église ? Ceci ne veut pas dire que chaque église individuelle acceptait chaque livre individuel, mais que les églises en général, dans toutes les parties du monde ancien acceptaient chacun de ces livres.

La question est :  était-ce accepté universellement par les églises ?  Même certains livres contestés ne furent pas questionnés par les églises dans l’ensemble.

Le test de l’inspiration.  Il y a évidence d’inspiration divine dans les 27 livres.  

Nous avons parlé des trois premiers segments de canonicité et d’autorité de tous les livres de la Bible en général.  En passant à la quatrième division de notre étude sur la canonicité et l’autorité, nous allons parler de l’AT et des trois premières définitions et les lui appliquer.  Nous avons parlé des 3 termes :  l’authenticité, la crédibilité et la canonicité.  Voyons si nous pouvons les appliquer à l’AT et voir ainsi comment il s’en sort.

L’authenticité.  Nous devrons diviser l’AT  dans les 3 divisions telles que les Juifs l’ont fait dans sa forme Hébreu.

La loi.  La loi de Moïse contient les 5 premiers livres : Genèse, Exode, Lévitique, Nombres et Deutéronome.  La question est maintenant la suivante:  Est-ce que les 5 livres de Moïse passent le test de l’authenticité ?  Et la réponse est oui, de quatre façons.

Moïse est représenté par la loi comme étant l’auteur de la loi.  La loi elle-même nous dit que Moïse était l’auteur de cette loi.  Par exemple, il fut dit à Moïse de mettre par écrit les Paroles de la loi dans Ex. 17.14 ; 24.4 ; 34.27-28 ; Nombres 33.2 ;  Deut. 31.9 et 23-24.

De plus, des descriptions de ce qu’il a écrit nous sont données.  Dans le livre de la loi, Deut 28.58 nous dit que Moïse à écrit cette loi.  Il est dit que Moïse a écrit ce livre dans Deut 29.20 et 27 ;  qu’il a écrit la loi dans Deut. 29.21 ;  30.10 et 31.26.  Et il est dit que Moïse a écrit les Paroles de la loi dans Deut. 31.24.  Nous avons donc ici les 5 descriptions de « qu’est-ce qu’il a écrit ? » soulignant ainsi le fait que Moïse est réputé être l’auteur des Écritures.  Il lui fut dit d’écrire et ensuite nous avons la description de ce qu’il a écrit.

Deuxièmement, non seulement la loi elle-même prétend avoir été écrite par Moïse, mais 13 fois en dehors de la loi de Moïse, il est dit qu’il en est l’auteur.  Par exemple, la loi est appelée le « livre » de la loi de Moïse  dans Josué 8.31 et 23.6 et 2 Rois 14.6.

Deuxièmement, il est appelé « la loi » de Moïse 6 fois dans 1 Rois 2.3 ;  2Chroniques 23.18 ;  Esdras 3.2 ;  Josué 8.31 ;  Daniel 9.11 et 13.

Puis il est appelé « le livre de Moïse » 4 fois.  Dans 2 Chroniques 25.4 ; 35.12 ;  Esdras 6.18 et Néhémie 13.1.

Donc, 13 fois en dehors de la loi de Moïse dans l’AT,  il est dit qu’elle a été donnée par Moïse.

Dans le NT, plusieurs fois Moïse est affirmé être l’auteur de la loi.  Jésus lui-même en donnait le  crédit à Moïse.  Dans Matthieu 8.4 ; 19.7-8 ; Marc 7.10 ; 12.26 ; Luc 16.29 et 31 ; 24.44 ; Jean 5.45-46 ; 7.19, 22 et 23.  Dans les quatre Évangiles, au moins deux fois dans chaque Évangile, Jésus soutient l’auteur de la loi mosaïque.

De plus, les écrivains du NT soutiennent  l’auteur de la loi mosaïque.  Jean 1.45 ;  Luc le soutient dans Actes 3.22 ; 7.34 et 44 ;  13.39 ; 15.1 et 21 ; 21.21 ; 26.22 ; 28.23.  Puis Paul le soutient dans Rom 9.15 ; 10.5 et 19 ; 1 Cor 9.9 ; 2 Cor 3.15.  L’auteur d’Hébreux le soutient dans Héb 7.14 ; 8.5 ; 9.19 ; 10.28 ; 12.21.

Quatrièmement, l’authenticité de la loi mosaïque est soutenue par tous les Conciles Juifs.  Ils reconnaissent tous l’authenticité de la loi de Moïse, donc les 5 livres de Moïse passent certainement le test de l’authenticité.  

 Passons maintenant aux prophètes.

 La façon dont les Juifs divisent la section prophétique, il y a en tout 8 livres.

Premièrement, vous avez les anciens prophètes ce qui comprend 4 livres : Josué qui est dit avoir été écrit par Josué.

Puis vous avez Juges jusqu’à Samuel et ceci fut écrit après le début de la monarchie, selon Juges 19.1 et 21.25.  Bien que le livre des Juges ait été écrit après le début la monarchie, il fut quand même écrit avant que David ne devienne roi.  Tel que nous le voyons dans Juges 1.21 et 2 Sam. 5.6-9.  Et apparemment, le livre a été écrit quand David ne régnait que dans Hébron et sur la tribu de Juda.

Le troisième livre est 1 et 2 Samuel qui sont comptés comme étant un seul livre dans la reconnaissance juive tel que dans 1 Chroniques 29.29.  Et il est dit avoir été écrit par Samuel dans 1 Sam 1-24 alors que 1 Sam 25- 2,  Sam 24 est dit avoir été écrit par les deux prophètes Nathan et Gad selon la tradition juive.

Quatrièmement, vous avez 1 et 2 Rois.  Dans la reconnaissance Juive, ces deux livres ont été écrits ensemble et par Jérémie le prophète.  Ils y a des similarités mot pour mot entre les livres des Rois et le livre de Jérémie.

Donc, en traitant avec les prophètes, dans le Judaïsme, ils divisent entre les anciens prophètes et les derniers prophètes.  Les anciens prophètes contenaient 4 livres : Josué, Juges, les livres de Samuel et les livres des Rois.

Deuxièmement, vous avez les derniers prophètes qui constituent aussi quatre livres.

 Premièrement, Ésaïe qui fut écrit par Ésaïe.  Ce fait est à nouveau soutenu dans l’AT dans 2  Chro 26.22 et chapitre 32.32.  C’est aussi réaffirmé dans Ésaïe 1.1 ; 13.1.  Aussi, Jésus soutient qu’Ésaïe a écrit le livre d’Ésaïe dans Mat 8.17 et Luc 4.17-18.

 Le deuxième livre des derniers prophètes est Jérémie qui est réputé avoir été écrit par Jérémie dans Jér. 20.1 et 51.60.

 Le troisième livre est Ézéchiel écrit par Ézéchiel selon le chapitre 24.2 et 43.11.

 Le quatrième livre est les 12 prophètes mineurs.  Du point de vue d’Israël il n’y a pas 12 livres séparés, mais un groupe de 12 livres et sont chacun écrit par les prophètes et chacun a une suscription qui nous dit le nom de chaque prophète.

 Donc, la deuxième division majeure de l’AT, la division des prophètes passe aussi le test  de l’authenticité.  Il nous est dit, d’une façon ou d’une autre, qui en sont les auteurs et ont été écrits au temps où ils se réclament avoir été écrits.  

 La troisième division de l’AT Juif, est connue en tant que « Écritures » et cette troisième section comporte onze livres qui sont subdivisés  en trois unités séparées.

La première unité est connue en tant que « littérature de Sagesse », qui comprend trois livres.  Le premier est le livre des Psaumes et il y en a un total de 150.  Cinquante de ces Psaumes sont écrits anonymement.  Cent ont une suscription nous disant qui les a écrits.  Et des cents suscriptions, nous savons que David en a écrit 73, Asaph 12, les fils de Koré 11, Salomon 2, Éthan 1 et Moïse 1.

Le deuxième livre de la littérature de Sagesse est le livre des Proverbes écrit par Salomon, appuyé par Prov. 1.1 et 25.1.

Le troisième livre de la littérature de Sagesse est le livre de Job et dans la tradition Juive, ce livre a été écrit par Moïse même si certains croient que Job lui-même a écrit le livre.

La deuxième division des Écritures est connue en tant que le « Negillot », mot Hébreu qui réfère aux « rouleaux », cinq livres en tout.

Le premier est le Cantique de Salomon qui fut écrit par Salomon selon le premier verset du livre.

Le deuxième est le livre de Ruth que l’on croit avoir été écrit par Samuel parce que c’est seulement qu’un appendice aux livres des Juges et a le même style.

Le troisième livre est Lamentations qui a été écrit comme nous le savons par Jérémie tel qu’il l’affirme lui-même.

Le quatrième est le livre de l’Ecclésiaste écrit par Salomon selon Ecc 1.1 et 16 et chapitre  2.4-11.

Le cinquième rouleau est le livre d’Esther que l’on croit avoir été écrit par Mardochée qui était le héros du livre.  

 La troisième division des Écritures est « les livres  Historiques », qui sont au nombre de trois.

 Premièrement, vous avez Daniel qui a été écrit par Daniel lui-même selon Dan. 1.1 et réaffirmé dans Matthieu 24.15.

 Puis vous avez le livre d’Esdras écrit par Esdras et Néhémie écrit par Néhémie.  Selon la reconnaissance Juive, ces deux livres sont reconnus comme étant un seul livre.

 Le troisième livre est « Chroniques ».  1 et 2 Chroniques sont aussi vus comme étant un seul livre et écrit, croit-on, par Esdras.  C’est pourquoi vous avez tant de points de forte similarité entre le livre d’Esdras et 2 Chroniques.

 Donc, les trois divisions de l’AT et les différentes subdivisions passent toutes le test de l’authenticité et par-là nous savons fondamentalement qui a écrit chacun des livres et les évidences montrent qu’ils ont été écrits par ces individus mêmes et la période qu’ils disent avoir été écrits, correspond à ce qu’ils décrivent de leur temps.  

2.  La crédibilité.  Elle met en valeur la véracité.   La crédibilité de l’AT peut être       mis en évidence de 4 façons.

Jésus lui-même acceptait les livres de l’AT comme ayant  la canonicité et l’autorité.  Il acceptait la véracité des doctrines enseignées dans l’AT, et nous voyons cela dans Mat 5.17-18 ; Luc 24.27, 44 et 45 ; Jean 10.34-36.

Jésus acceptait la véracité des événements historiques de l’AT.  Il n’acceptait pas seulement l’enseignement doctrinal comme ayant autorité, mais il acceptait l’histoire comme étant vraie et ayant autorité.  Il acceptait donc la version de l’AT sur la création de l’univers dans Marc 13.9.  Il acceptait l’enseignement de l’AT sur la création de l’homme dans Mat 19.4-5.  Il croyait au déluge du temps de Noé dans Luc 17.26-27.  Il croyait ce que la Bible disait à propos de Sodome et Gomorrhe et sa destruction dans Luc 17.28-30.  Il acceptait l’histoire de Moïse et le buisson ardent dans Marc 12.26.  Il acceptait l’histoire de la manne dans Jean 6.32.  Il acceptait le tabernacle dans Luc 6.3-4.  Et il croyait l’histoire de Jonas et du poisson dans Mat 12.39-40.

La chose à savoir est que Jésus n’acceptait pas seulement les doctrines de l’AT, il acceptait son histoire.  Il ne croyait pas seulement que l’AT était infaillible et in errant en matière de foi et de doctrine.  Il le croyait aussi infaillible et in errant en matière d’histoire.

 La deuxième évidence de la crédibilité de l’AT ou de la véracité de l’AT est la preuve à partir de l’histoire et nous voyons ceci de 4 façons.

Les premiers événements de la Genèse sont consistants avec les lois de ce temps. Tel que le code Hamorabe.  L’action de Saraï de donner sa servante à Abraham était dans la tradition de ce temps.  L’action de Rachel et les dieux plein la maison de son frère Laban est pas mal ce que nous savons de la loi du monde ancien.

La deuxième preuve de l’histoire est que les événements mosaïques sont conformes à ce que nous savons de la 18ième Dynastie d’Égypte.  Tout concorde parfaitement.  Ces choses sont disponibles dans notre série sur l’Exode.

Les noms de 41 rois mentionnés dans la Bible ont reçu une confirmation historique.  Donc, Sargon est mentionné dans Ésaïe 20.1.  Salmanasar dans 2 Rois 17.3-6.  Belschatsar dans Daniel 5, l’élévation et la rencontre dans Daniel 6 ont toutes des évidences et des documents historiques qui les mentionnent.

 La quatrième évidence est que c’est fiable chronologiquement.  Les choses qui se sont produites chronologiquement sont dépeintes par les Écritures.

Cassette #3 face B

 Maintenant, la troisième évidence pour la crédibilité et la véracité de l’AT est la preuve venant de l’acuité topographique et géographique.  Et une chose que la géographie historique a prouvée est que, ce que la Bible dit à propos de la topographie et de la géographie a été absolument vérifié.

 La quatrième évidence de la crédibilité de l’AT est la preuve de l’archéologie. Il y a plusieurs preuves, mais en voici 6 exemples parmi tant d’autres.

La morale Babylonienne de la création qui se rapproche d’assez près du compte rendu de la Genèse.  Ce qui vous montre au moins qu’ils avaient les même sources, avec la Genèse étant exacte et la Babylonienne étant la corrompue.

 La morale Gilgamesh qui parle aussi d’un déluge mondial comme Noé l’avait imaginé.

Les Rois de Genèse 14 ont tous des noms nationaux de l’endroit où il est dit qu’ils proviennent.

Les tablettes Nuzi qui expliquent grandement plusieurs des actes de Sarah et Rachel.

Les archéologues ont confirmé l’existence des Hittites qui était à un certain moment « la » question  bien que la Bible l’avait dit.

Le récit parmi les « Aliters » (en anglais) qui confirme le rapport du livre de Josué.

Donc, toutes ces évidences montrent que l’AT a :  crédibilité et véracité.  

La canonicité de l’AT

La canonicité met en valeur l’autorité.  Pour ce qui est de la canonicité de l’AT, nous allons parler de quatre choses.

Les livres de l’AT ont été écrits avec l’idée arrêtée d’être tenus comme sacrés et d’être d’autorité divine.  Encore une fois, je souligne fortement que ce n’est pas un quelconque Concile Juif ou d’Église qui a donné à l’AT sa canonicité ou son autorité.

Il y a une reconnaissance immédiate de la loi mosaïque comme ayant autorité et nous voyons cela dans :  Deut 18.18-19 ; 31.11 et 24-26 ; Josué 1.7 ; Josué 24.26 ; 1 Rois 2.3 et Malachie 4.4.

Un autre exemple est, qu’il y avait une reconnaissance immédiate des prophètes eux-mêmes à mesure qu’ils écrivaient la Parole de Dieu.  Nous voyons ceci comme exemple dans Juges 1.1 et chapitre 2.8 et 1 Samuel 10.35, Ésaïe 8.16 et Jérémie 36. 1-2 et 6.

De plus, il y avait une reconnaissance immédiate  des prophètes par d’autres prophètes.  Par exemple, dans Jérémie 26.17-18 qui reconnaît Michée comme étant prophète et Zacharie 1.4 qui reconnaît les anciens prophètes.  Vous avez aussi Michée 4.2-3 qui reconnaissent Ésaïe 2.2-4 comme étant «  Écriture Sainte » et Jérémie 49.9 et la suite comparée à Abdias versets  et 5 et la suite et dans le chapitre 9.2 du livre de Daniel, ce passage montre que Daniel a vérifié les livres dont celui de  Jérémie.

Il y avait aussi une reconnaissance immédiate par les « écrits » dans la troisième section de l’AT.  Nous voyons cela dans Daniel 9.2 ; Néhémie 6.5 ; 1 Rois 4.22 ; 1 Chroniques 29.29 et 2 Chroniques 9.29.

De plus, les Rabbins faisaient la distinction entre les livres qui souillaient les mains et les livres qui ne souillaient pas les mains et ceci était une distinction entre les livres canoniques et les livres non canoniques.  Et il y avait une reconnaissance générale à l’effet que, quand les prophètes ont cessé, ils ont vraiment cessé et qu’il n’y avait plus de Parole venant de Dieu.  Si nous regardons les livres apocryphes par exemple, ils témoignent eux-mêmes du fait que les prophéties avaient cessé.

Des exemples se trouvent dans 1 Maccabées 4.46 ;  9.27 ; 14.41 et le livre apocryphe de Asarïa  15.  Ces livres apocryphes que certains veulent garder sacrés, clament eux-mêmes ne pas être sacrés et reconnaissent que, en leur temps, les voix prophétiques avaient cessé.

Un autre exemple que l’AT avait été écrit avec l’idée immédiate d’être tenu sacré est la découverte des rouleaux de la Mer Morte.  Tous les rouleaux de la Mer Morte furent mis ensemble des siècles après que le canon de l’AT fut déjà complété et nous avons au moins un fragment de chaque livre de l’AT excepté un qui est le livre d’Esther.  Donc, les Juifs qui constituaient la population de la Mer Morte les considéraient comme étant « Écritures Saintes».

Et finalement, le fait que les livres de l’AT furent écrits avec l’idée immédiate qu’ils soient tenus sacrés et d’autorité divine peut être vu dans le fait que tous les  livres de l’AT sont cités dans le NT à l’exception de 6.  Ce sont Juges, Ecclésiaste, Cantique de Salomon, Esdras, Néhémie et Esther, alors que tous les autres livres sont cités.

Une deuxième façon montrant la canonicité et l’autorité de l’AT est que la division en trois parties est basée sur les positions officielles ou les statuts de chaque auteur.  Cette division en trois parties était même reconnue par Jésus dans Luc 24.44, où il souligne les trois parties, la loi, les prophètes et les Psaumes des Écritures.  Certains enseignements que la division était sur la base que certaines parties étaient plus canoniques que les autres.  En réalité, elles n’étaient pas basées sur plus d’autorité ou de canonicité, mais sur les positions et les statuts des auteurs.  La loi mosaïque est loi par elle-même parce qu’elle a été donnée par un dispensateur de loi.  Les prophètes sont groupés ensemble parce qu’ils avaient et l’office et le don de prophétie.  Et les Écritures sont classées ensemble parce qu’elles avaient le don de prophétie mais n’avaient pas l’office des prophètes.  C’était là la base de la distinction, de la division en trois parties et non sur la base de  « plus ou moins » de canonicité. Une troisième chose à propos de canonicité : ces trois parties remontent aux temps anciens.  Par exemple, Josephus  qui écrivit environ 100 A.D., mentionne les trois parties dans son travail contre Apion et dans Apion 1.8, Josephus dit : « il n’y a pas d’Écriture canonique depuis Malachie ».  Et quand il parle des Écritures, il parle seulement des trois parties de la division : la loi, les prophètes et les Écritures.

Deuxièmement, nous avons le témoignage de Philo qui écrivit environ 40 A.D.  Il mentionne aussi cette division en trois parties.  Même le NT les enseigne et nous voyons cela en comparant Mat.23.34, Luc 11.49 et Luc 24.44.

Le 2ième livre des Maccabées qui fut écrit environ 100 B.C., dans le chapitre 2.13 mentionne les livres des Rois qui sont connus comme les anciens prophètes. Il mentionne les « prophètes » qui est maintenant connu comme les « derniers prophètes », il mentionne les livres de David et ceci inclus le poétique et le néguilot et inclus ce qui est appelé « les épîtres des Rois » concernant les dons Saints, et ce sont les livres de Esdras, Néhémie et Esther.

Une cinquième évidence des antiquités est l’œuvre apocryphe connue comme étant le prologue à l’Écclésiaste, écrit par Jésus Ben Sirach environ 130 B.C.  Il mentionne la loi, les prophètes et les autres qui suivirent après eux, les autres livres des Pères qui est la 3ième division des Écritures.

Une sixième évidence est la Septante,  la traduction grecque de l’AT qui fut faite environ 200 B.C. et qui inclut cette division tripartite.

Nous pouvons donc conclure que cette division en trois parties fut faite pas plus tard que 300 ans B.C. selon ces points d’évidence.  À partire de 300 ans B.C., le canon de l’AT était terminé et divisé en trois parties, la loi, les prophètes et les Écritures.

La quatrième chose à propos de la canonicité est la collection du canon. Comment furent collectés les 39 livres du canon de l’AT ?

Éh bien, la collection commença avec Esdras et la Grande Synagogue.  Ils assemblèrent les livres de l’AT au cinquième siècle B.C.  Esdras était particulièrement concerné par les livres sacrés.  Ils convoqua alors les scribes dans Néhémie 8.1, 4, 9, 13 et chapitre 12.26 et 36.  Il était décrit comme un scribe de la loi de Moïse dans Esdras 7.6.

Donc, un : la collection du canon de l’AT fut commencée par Esdras et continuée par les scribes et les hommes de la Grande Synagogue dans le 5ième  siècle B.C.

Et il fut clairement reconnu par le NT dans Luc 24.44.

Et finalement, il fut établi exactement comme ça par le Concile Juif de Yavneh en l’an 90 A.D.

Donc, ces choses sont des évidences claires de la canonicité de l’AT.  Il a donc l’authenticité, la crédibilité et la canonicité. Nous allons maintenant à la cinquième division principale, nous arrivons au NT. Ici aussi, nous allons démontrer la canonicité du NT.

1.  L’authenticité :  encore une fois, l’authenticité met l’emphase sur le véritable.  Nous allons faire plusieurs points ici.

Les Évangiles ont pour auteurs, ceux qui portent le nom de l’Évangile.  Matthieu par Matthieu, Marc par Marc, Luc par Luc et Jean par Jean.  Nous avons comme évidence une lettre écrite par Polycarpe.  Il était un disciple de Jean,  et il témoigne que les quatre Évangiles furent écrits par les quatre de qui ils portent le nom.

Deuxièmement, le livre des Actes a clairement été écrit par Luc, parce que comme les premiers versets en témoignent, le livre des Actes est une continuation de « son » Évangile.

Chacun des épîtres de Paul furent écrits par Paul lui-même.  Chacun comprend une suscription qu’il en est l’auteur.

Les épîtres générales qui sont Hébreux, Jacques, 1 et 2 Pierre, 1,2 et 3 Jean et Jude, ont chacun une suscription nous disant qui en est l’auteur, à l’exception de la lettre aux Hébreux.

Le livre de l’Apocalypse a été écrit par l’apôtre Jean.  Une chose que nous savons à partir des écrits des Pères de l’Église est que les 27 livres du NT ont tous été justifiés avant  d'atteindre l’an 115 A.D. parce que Agratious (en anglais) mentionne tous les livres du NT à l’exception de 2 Pierre, Jude, 2 et 3 Jean.

De plus, le style d’écriture du NT est très semblable au style de littérature du premier siècle et donc cadre bien avec ce contexte historique particulier.  Et toutes les allusions historiques telles que : Hérode Agripa, Hérode Le Grand, Pompéus Pilot, Festus, Félix, tous cadrent très bien avec l’histoire que nous connaissons de cette période.

Donc, tout ceci montre l’authenticité et la véracité du NT en ce que nous avons le témoignage pour les auteurs, à l’exception des points d’interrogation sur la lettre aux Hébreux.  La période en laquelle ils disent avoir été écrits rencontre bien ce que nous savons de cette époque et non une période plus tardive comme certaines critiques essaient souvent de démontrer.

 La crédibilité :  la crédibilité fait ressortir la véracité et je ferai ici 4 commentaires, 4 points majeurs.

La véracité du NT est corroborée par des témoins compétents.  Les auteurs du NT avaient des opportunités d’observer et de s’enquérir.  Ils n’étaient pas facilement trompés.  Matthieu, Jean et Pierre étaient des témoins oculaires. Marc n’est que l’interprète de Pierre.  Luc était le compagnon de Paul et avait reçu son autorité.  Paul fut appointé par Christ lui-même, comme il en témoigne dans  Galates 1. 11-17 et Jacques et Jude étaient les demi-frères de Christ.  Tout ceci démontre que les Écritures du NT furent écrites par des témoins compétents.  Et le fait qu’ils étaient des témoins honnêtes est aussi montré de deux façons.

1.  Leur témoignage n’était pas à leur avantage, parce que  leur attestation de Jésus en tant que Messie pouvait vouloir dire une perte de position et même la perte de la vie.

2.  Une deuxième façon qui démontre qu’ils étaient des témoins   honnêtes, est qu’ils ne se montraient pas sous un angle favorable.  Ils pointaient même leurs manquements particuliers.

3.  La troisième chose sur la crédibilité du NT est son        harmonisation.

Même si nous avons un nombre d’écrivains différents, ils se soutiennent mutuellement.  Et même quand quelqu’un tente de démontrer des différences, elles peuvent être aisément harmonisées.  Et même ces différences prouvent qu’ils n’étaient pas de connivence et qu’il n’y avait pas de conspiration,  sinon ils auraient tous écrit de la même manière.

Les différences ne sont pas contradictoires, elles sont complémentaires.  Elles prouvent que ce n’était pas une conspiration pour inventer un mensonge.  Par exemple, dans les Évangiles synoptiques qui sont Matthieu, Marc et Luc, il n’y a aucune contradiction dans l’une par rapport à l’autre.  Et Jean qui n’est pas un Évangile synoptique, néanmoins, s’intègre bien avec ce que les synoptiques ont à dire et beaucoup d’écrits des Évangiles n’ont aucun problème à s’harmoniser avec les dires de Jean, à l’intérieur des Évangiles synoptiques et le développement historique.

Le livre des Actes jette les bases pour les épîtres Paulines et tous les autres livres s’harmonisent, en conséquence, aussi bien.

Donc, l’observation de l’harmonisation montre encore une fois la crédibilité.

4.  La quatrième façon dont nous voyons la nette crédibilité, est qu’ils sont conformes avec toutes les circonstances historiques.  Il n’y a pas de  contradiction avec les découvertes historiques et les personnages historiques rapportés de l’histoire séculière.

Donc ces individus historiques mentionnés dans le NT  sont tous attestés dans l’histoire séculière tels que : Cerivious (en anglais), Hérode le Grand, Hérode Antipas, Hérode Philipe, Agrippa premier, Agripa le second, Gallo, Festus, Félix. Nous avons des preuves séculières qui montrent que ces personnes ont effectivement existé.  Ce sont donc des évidences suffisantes qui démontrent la crédibilité du NT.

La canonicité du NT.  Encore une fois, canonicité veut dire : autorité d’être la Parole de Dieu.  Donc, comme avec l’AT, pour le NT, il y avait      reconnaissance immédiate d’autorité divine.  Nous voyons cela de trois façons.

Il y avait lecture publique des écrits apostoliques et ces lectures publiques montraient que ces églises acceptaient ces écrits comme étant canoniques et faisant autorité.  Des exemples de ceci sont dans 1 Thessaloniciens 5.1, 1 Timothée 4.13, Apocalypse 1.3, chapitre 2 .7, 11, 17 et 29, chap 3.6, 13 et 22.

Deuxièmement, les écrits du NT étaient circulés parmi les églises et un exemple de ça est Colossiens 4.16.

Il y avait une collection des livres sacrés.  Et nous voyons cela aussi tôt dans 2 Pierre 3.15-16.  Nous appelons même «Écritures »la collection des écrits de Paul.

Donc, la première façon de voir la canonicité et l’autorité du NT est qu’il y avait reconnaissance immédiate de l’autorité divine.

Deuxièmement, à la fin du deuxième siècle, à l’exception de 7 livres, tous étaient réconciliés et acceptés.

Troisièmement, au Concile de Carthage, en l’an 397 A.D., les 27 livres étaient reconnus comme étant canoniques.  Une fois encore, tout ce que l’Église a fait est de reconnaître la canonicité et n’a donc pas décrété la canonicité pour ces livres.  

F .  Les livres contestés.

 En traitant des livres contestés, il nous faut parler de ces 4 termes :

Homologoumenos mot grec qui veut dire sans contreverse.  Les livres reconnus qui étaient tous acceptés sans aucune sorte de dispute.  Des 39 livres de l’AT, 34 étaient des livres reconnus qui étaient proprement acceptés et des 27 livres du NT, 20 d’entre eux étaient caractérisés « homologoumenos », des livres qui étaient acceptés.

Antilogoumenos qui veut dire « parler contre ».  Il y avait des objections contre certains livres, certains segments, dans la société Juive et l’Église et il y eut quelques débats avant que certains livres puissent être finalement acceptés.

Dans l’AT, au Concile Juif de Yavne qui se tint en l’an 90 A.D., il y avait cinq livres contre lesquels certains segments de la société Juive parlaient.

Le Cantique de Salomon principalement à cause de sa nature érotique. Ecclésiaste parce qu’il représentait le pessimisme, l’épicurisme et la négation de la vie après la mort. Esther parce Dieu n’y est jamais mentionné dans ce livre. Proverbes parce qu’il y avait certaines contradictions apparentes telles Prov. 26.4 qui contredit le verset 5. Ézéchiel parce que sa description du temple et du système sacrificiel diffère de celui de Moïse.

Mais, éventuellement, ces 5 livres contre lesquels on parlait, furent reconnus comme étant canoniques par la majorité des leaders Juifs.

Dans le NT, il y avait 7 livres « antilogomina », dont les Pères de l’Église avaient certaines réticences et des doutes quant à leur canonicité.

Hébreux parce que l’auteur était incertain. Jacques parce qu’il semble contredire l’apôtre Paul. 2 Pierre parce qu’ils assumaient que le style était différent de celui de 1 Pierre. 2 Jean parce qu’ils pensaient qu’il était trop personnel. 3 Jean pour la même raison. Jude parce qu’il faisait une référence au livre d’Énoch et avait trop de similarité avec le livre de 2 Pierre. Apocalypse à cause de sa doctrine du millénium alors que les Pères de l’Église avaient déjà commencé à nier le millénium.

Les raisons qu’ils donnaient pour l’antilogoumenos des livres de l’AT et du NT, pour ne pas les reconnaître comme canoniques,  étaient principalement basées sur des préjudices tels que : Pourquoi Dieu permettrait-il un livre tel que le Cantique de Salomon à cause de sa nature érotique ?  Mais bien sûr, le Cantique des Cantiques enseigne les ramifications spirituelles de l’union sexuelle.  C’était vraiment un manque de compréhension quant à l’objet de ces autres livres qui fit qu’ils soient ainsi décriés.

Mais la majorité de la population Juive accepta ces 5 livres de l’AT « antilogoumenos » et la majorité de l’Église accepta les 7 livres du NT et éventuellement, les livres « homologoumenos» et « antilogoumenos » devinrent nos Écritures.  

Les Apocryphes est une collection de livres écrits entre 200 B.C. et aussi tard que 100 A.D., mais ces livres ne furent jamais acceptés comme étant inspirés ou canoniques par les sociétés Juives ou de l’Église.

Pseudopignapha qui veut dire fausses inscriptions.  Dans ces cas-ci, ces livres sont déclarés être écrits par certains auteurs, mais ces auteurs n’ont jamais écrit ces livres en particulier.  Cette collection de livres se situe entre 200B.C. et 200 A.D. et ne furent jamais reconnus comme étant canoniques par les sociétés de l’Église et Juive.

 Nous avons donc, sur  la discussion de la canonicité et de l’autorité, l’affirmation que nous avons un texte très exact et que Dieu a promis de préserver sa Parole.  Et effectivement, Dieu a agit dans l’histoire d’Israël et celle de l’Église afin que les livres qu’Il inspira soient ceux qui furent rapidement reconnus comme étant inspirés et mis ensemble comme tels.  Dieu agit de telle sorte que nous ayons une structure d’Écritures et que les livres qu’Il voulait voir inclus le furent  et les livres qu’Il voulait voir laissés de côté le furent aussi.  

- Arnold Fruchtenbaum

 Authenticité d'Esaïe

 












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