Lorsque j'étais en Palestine, il y a un mois, bien
des réflexions me sont venues à l'esprit et cette pensée,
entre autres, que notre Seigneur n'a jamais rien écrit. Quelle
grande chose cela aurait été si Jésus-Christ
avait écrit l'Evangile lui-même ! Mais Il nia pas écrit
un seul mot et n'a pas non plus demandé à ses disciples
d'écrire. Il ne leur a pas dit : «Je vais dicter, prenez
des notes ». Ceux qui ont écrit la Bible n'ont pas reçu
l'inspiration en prenant des notes, mais en vivant avec la Parole de
Vie. C'est pour cela que notre Seigneur
ne demanda pas à ses disciples d'écrire quoi que ce soit.
Il a dit : « Mes paroles sont Esprit et Vie ».
Il est facile d'écrire des mots pour en faire un livre, mais il
est
difficile d'exprimer l'esprit par des mots. La vie et l'esprit du Seigneur
ne peuvent être transcrits que dans les
coeurs des hommes et non dans des livres; et Jésus-Christ savait
que son action s'accomplirait dans les
coeurs et non pas dans les pages de son livre.
Nombre de docteurs ont laissé à leurs disciples
leur enseignement par écrit, car ils savaient qu'ils allaient
les quitter; mais Christ, qui est Dieu, ne nous quittera pas : nous
avons sa promesse : « je suis toujours avec
vous ». Plus tard, ses témoins vivants, qui avaient vu
tant d'évènements, écrivirent les Evangiles sous
l'inspiration du Saint-Esprit. Ils étaient témoins oculaires,
ils avaient vécu avec Christ. Ce qui importe le plus
pour nous, c'est ceci : JésusChrist allait vivre dans les coeurs
de ses disciples et travailler par leur moyen; et
non seulement par eux, mais aujourd'hui encore, il agit à travers
les coeurs de ceux qui lui appartiennent.
Quel grand privilège que d'être son témoin, le
témoin du Christ vivant; c'est un privilège qui n'est pas
donné
aux anges, parce qu'ils ne peuvent pas rendre témoignage à
sa puissance de Sauveur. Ils n'ont aucune
expérience du salut, puisqu'ils n'ont jamais été
pécheurs. Ceux-là, seuls, qui ont été sauvés
par Sa grâce
peuvent rendre ce témoignage : « Maintenant, je suis sauvé
! » Comme l'aveugle le disait : « J'étais aveugle
et maintenant je vois », ceux qui ont été de grands
pécheurs peuvent dire : « Nous étions aveugles et
maintenant nous voyons; nous sommes Ses témoins dans le monde
». Lorsque Jésus-Christ vit dans nos
coeurs, nous lui rendons témoignage par toute notre vie et non
pas seulement par nos lèvres.
Témoins en vivant de sa vie.
En voyageant dans les montagnes de l'Himalaya, je vis une
fois un arbre couvert d'insectes. Tout d'abord,
je ne m' aperçus pas que c'étaient des insectes : ils
étaient posés sur les feuilles et je les pris eux-mêmes
pour des feuilles, jusqu'à ce qu'ayant regardé de plus
près, je vis que ce n'étaient pas des feuilles, mais des
insectes. Par leur couleur, par leur forme, en tous points, ils étaient
semblables aux feuilles de l'arbre. J'étais
surpris de constater qu'il n'y avait pas la moindre différence
entre les feuilles et les insectes. Un homme du
village m'expliqua que ces insectes naissent sur l'arbre, qu'ils se
nourrissent de l'arbre et que l'arbre est tout
pour eux. Cela me fit penser au fait que ceux qui vivent avec Jésus-Christ
deviennent semblables à Lui. Ils
mangent sa chair et boivent son sang; Il vit en eux et ils deviennent
pareils à Lui. L'homme ne devient pas
Dieu, mais il devient semblable à Jésus-Christ lorsqu'il
vit avec Lui. En d'autres termes, les enfants de Dieu
peuvent être appelés des portraits de Jésus-Christ,
qui est dans le ciel, et quand ils ressemblent ainsi à leur
Sauveur, leur vie est un témoignage pour d'autres. Nous sommes
façonnés à son image. S'il vit en nous,
nous serons formés spirituellement à sa propre image,
mais ce n'est possible que lorsqu'Il vit en nous et que
nous vivons dans le monde sans être de ce monde. Nous sommes
dans ce monde comme de petits bateaux.
Une barque est très utile pour aller sur l'eau.
Comme les routes sont bonnes pour les automobiles, tandis
qu'elles ne valent rien pour les bateaux. Le bateau est très
utile sur l'eau, mais "si l'eau est dans le bateau,
tout est perdu. Ainsi nous ne pouvons vivre que dans le monde, mais
il ne faut pas que le monde soit en
nous.
Témoins en nous dégageant du monde.
Si le monde pénètre en nous, nous sommes
noyés dans ce monde et nous ne pouvons plus être des
témoins, parce que nous sommes morts. Ainsi ce n'est pas ce
monde, mais Christ qui doit vivre en nous, et
alors il sera possible de lui rendre témoignage par nos lèvres
et par nos vies... « Vous serez mes témoins ».
Témoins de ce que la tentation peut être vaincue, non
par nos propres efforts, mais par Sa grâce et Son
secours. Nous connaissons la puissance du péché et Satan
est très fort, mais notre Sauveur est plus fort que
Satan.
Un jour que j'étais assis sur un rocher, je vis
au-dessous de moi un oiseau qui volait lentement. J'observai
ses mouvements et, au bout d'un moment, je vis un gros serpent qui
regardait l'oiseau et l'attirait par son
pouvoir magnétique. Le pauvre petit oiseau était attiré
dans la gueule de la mort. Il ne savait pas où il allait,
mais l'eût-il su qu'il n'aurait pas eu la force de résister.
J'essayai de jeter des pierres pour lui sauver la vie,
mais inutilement. Alors, j'assistai à une scène tragique
: au moment où l'oiseau arriva à la bouche du serpent,
il fut englouti d'un coup. C'est exactement ainsi que Satan, le serpent
ancien, a beaucoup de choses
intéressantes à montrer à tous, jeunes et vieux,
pour les attirer à Lui. Nul de nous n'a en lui-même le
pouvoir de résister au mal et nous allons au devant de la gueule
de la mort, mais si nous regardons à
Jésus-Christ, il peut nous attirer à Lui et nous élever
jusqu'au Ciel. Des pierres que l'on jette en l'air
retombent sur le sol, car par la loi de la pesanteur la terre attire
tout à elle, mais, lorsque Jésus-Christ monta
au Ciel, il ne retomba pas sur le sol.
Le mois dernier, me trouvant sur le Mont des Oliviers,
je me disais que, malgré la loi de la pesanteur la
terre n'a pu retenir le Sauveur. Il s'en alla, en dépit de cette
loi; il monta au ciel. Ainsi, il attire à lui ceux qui
le prient, il les attire vers la patrie céleste. Bien que nous
vivions dans ce monde, Sa puissance d'amour
travaillera en nous; nous n'aurons aucune difficulté à
résister au mal, aucune même à vaincre Satan; nous
serons rendus capables d'être les témoins de notre Sauveur.
Il a fait tant de grandes choses pour nous. Il
nous a affranchis et un pécheur sauvé est en état
de rendre témoignage de sa propre existence. Nous vivons
encore dans ce monde de péché, mais nous y vivons avec
lui, nous sommes rendus libres à l'égard du
péché.
Témoins qui agissent sur le monde.
Si nous vivons avec Christ, même les choses qui font
du mal à d'autres nous deviennent utiles. Dans un
de mes voyages dans l'Himalaya, j'arrivai un jour à quelques
cents mètres d'un village horriblement sale; la
mauvaise odeur était si forte, que j'en eus des nausées.
Quelques jours plus tard, je repassais par là et vis un
changement merveilleux. La saleté était la même
qu'auparavant, cela n'avait pas changé, mais une fleur
magnifique avait poussé au beau milieu de l'ordure et le suave
parfum de la fleur dominait la puanteur. La
saleté avait agi comme une nourriture, comme un engrais pour
la fleur. L'ordure même pouvait l'aider à
croître, et elle tournait sa corolle vers le soleil. Les rayons
du soleil tombaient sur la fleur, elle en recevait la
chaleur et là, au milieu de la saleté, éclatait
la gloire de Dieu. Les vrais chrétiens sont dans ce monde comme
des fleurs. Ils ont beau vivre au milieu de la boue du péché,
si leurs faces et leurs coeurs sont tournés vers le
Soleil de justice, sa lumière brille dans leurs coeurs et ils
peuvent rendre témoignage que le Christ vivant est
à l'oeuvre dans leur vie. Ces chrétiens-là sont
comme un parfum suave dans ce monde de douleur et
beaucoup d'autres pécheurs sont sauvés par leur effort.
Lorsqu'ils en auront amené d'autres au salut, ils
recevront leur récompense. Ainsi que le dit Daniel : «
Ils brilleront comme des étoiles ». Notre Seigneur a
dit plus encore. Daniel dit que, grâce à leurs efforts,
ils brilleront comme des étoiles, mais le Sauveur a dit :
« Ils resplendiront comme le soleil dans le Royaume de Dieu »
et ils recevront leur récompense. Tout ce
que nous aurons fait pour le Sauveur aura sa récompense.
Chacun de nous ne peut pas devenir missionnaire, mais chacun
peut aider la mission par la prière, et
soutenir ainsi ceux qui sont partis comme missionnaires. Chacun peut
s'associer à l'oeuvre du Seigneur par
ses prières et par ses dons, mais la chose essentielle, clest
la prière. Par la prière, nous pouvons travailler
pour le Seigneur, même si nous sommes pressés par notre
travail journalier.
Par la prière, nous n'aidons pas seulement aux autres,
nous sommes transformés nous-mêmes et rendus
semblables à notre Sauveur. De cette manière, même
dans notre bureau ou notre magasin nous pouvons
être les témoins de Christ et confesser Son nom. Que Dieu
nous aide, afin que nous puissions vivre en Lui
et Lui en nous, afin que nous puissions rendre témoignage à
notre Sauveur vivant.
J'aurais encore beaucoup à dire, mais je sais que
quelques amis désirent poser des questions. Je serai
heureux d'y répondre.
Questions posées au Sâdhou à la Salle centrale.
Chrétiens en secret aux Indes.
« Pouvez-vous nous dire quelque chose des sociétés
secrètes de chrétiens aux Indes ? »
Il y a, aux Indes, des disciples secrets de Christ. Beaucoup
d'entre eux ne le confessent pas ouvertement.
Ils travaillent à leur manière. Sur bien des points,
je ne suis pas d'accord avec eux. Ils croient avoir été
conduits à travailler dans le secret et lorsqu'on leur demande
pourquoi ils ne se déclarent pas, ils répondent :
« Notre Seigneur nous a appelés à être des
pêcheurs. Quand un pêcheur veut prendre du poisson, il ne fait
pas de bruit, il s'assied bien tranquillement jusqu'à ce que
son filet soit plein, car s'il faisait du bruit, le
poisson se sauverait. Nous travaillons donc dans le silence et, lorsque
le filet sera plein, le monde entier
verra le résultat de notre travail... »
Il arrive que ceux qui travaillent pour le Seigneur se
découragent en ne voyant aucun fruit de leur effort,
mais c'est qu'ils ne peuvent pas comprendre combien il est difficile,
aux Indes, de confesser Christ
ouvertement, à cause de la question des castes. Il y a plus
de seize ans que je suis devenu chrétien et, en
même temps, un hors caste aux yeux de ma famille pour ma vie
entière. je ne puis ni vivre avec eux, ni
manger avec eux. Ah ! ce n'est pas facile d'être chrétien
! Mais Dieu entend mes prières; mon père est
devenu chrétien et plusieurs de mes parents songent à
le faire, mais ils ne peuvent se déclarer ouvertement,
à cause des difficultés de la caste. Le SaintEsprit travaille
d'une manière magnifique que nous ne pouvons
comprendre; mais nous verrons les fruits de notre travail, sinon bientôt,
du moins en son temps à Lui.
Un converti m'a raconté son expérience :
elle était merveilleuse. Il me disait : « Lorsque j'ai éprouvé
que
Christ est le Sauveur, j'ai désiré le confesser publiquement,
mais j'avais peur d'être chassé de chez moi,
lapidé, tué peut-être. Pourtant, j'ai essayé.
Au commencement, je tremblais, mais bientôt je sentis une
puissance merveilleuse et je vis se réaliser la promesse de
Dieu : Ta force durera autant que tes jours. Je
pouvais rendre témoignage à mon Sauveur et je regrettai
de ne pas l'avoir fait plus tôt; je ne savais pas; si
j'avais su quelles expériences bénies je ferais, je l'aurais
confessé depuis longtemps ». Moi-même je pensais
que la persécution était impossible à supporter,
mais par elle j'ai fait, d'une façon merveilleuse, l'expérience
de la présence du Sauveur, de la communion avec ses souffrances,
de sa vie et de son action dans nos
coeurs. Une fois, mes parents cherchèrent à se débarrasser
de moi et mettant du poison dans ma nourriture.
J'en mangeai et le lendemain je fus aux portes de la mort. Le docteur
déclara qu'il n'y avait aucun espoir, et
le missionnaire chez qui j'étais me croyait aussi perdu. Pour
moi, j'étais sûr que je me rétablirais, afin de
rendre témoignage à mon Sauveur. Le docteur refusait
de me donner aucune médecine, car il était certain
que j'allais mourir et craignait que, s'il me donnait quelque chose,
on l'accusât de m'avoir lui même
empoisonné. Quand j'eus repris connaissance, je dis au docteur
de lire le chapitre 16 de Marc. Il se mit à
rire au récit de la résurrection, comme le font les rationalistes
d'aujourd'hui (ils ne comprennent pas les
miracles, parce qu'ils n'en ont pas fait l'expérience, mais
ceux qui l'ont faite n'y trouvent aucune difficulté).
Le matin suivant, je me sentais rafraîchi et plein de vie nouvelle;
je me levai pour me mettre au soleil,
devant la maison. je vis de loin le docteur qui venait faire les formalités
pour mon enterrement. Quand il me
vit à distance, assis au soleil, il fut surpris et honteux;
il s'en alla sans dire un mot, sans même venir jusqu'à
moi. le ne le revis pas de longtemps, mais quelques années plus
tard, en parcourant la Birmanie, je le
rencontrai dans une réunion. « Me reconnaissez vous ?
» demandat-il. « Oui, la dernière fois que je vous ai
vu, c'était auprès de mon lit de mort. » Il me
dit alors que ma guérison miraculeuse avait produit une telle
impression sur lui, qu'il s'était mis à lire la Bible
et était devenu chrétien : « Deux ans après
ce miracle, j'ai
été baptisé et maintenant je suis un ministre
de Christ ». N'y a-t-il pas là un grand miracle ? Cette
conversion du docteur et ma vie sauvée. Si des rationalistes
ou des théologiens viennent me dire qu'ils ne
peuvent pas croire à la divinité de Christ, ils ne sauraient
ébranler ma foi.
Je suis ici pour rendre mon témoignage. C'est par
sa puissance que j'ai été sauvé, physiquement et
spirituellement, et maintenant c'est lui qui me guide dans les différentes
parties du monde que je. visite. Le
souvenir d'avoir persécuté Christ et déchiré
la Bible est comme une écharde dans ma vie. Vous n'avez
jamais fait cela, mais vous courez le danger d'être séduits
par des conducteurs intellectuels. Pour avoir des
directions spirituelles, ne vous adressez pas à des rationalistes
ou à des théologiens dépourvus de vie
spirituelle, mais allez à la Parole de Dieu et vous trouverez
la force aux pieds du Maître. Dieu nous aide à
Le connaître et à faire l'expérience de sa puissance,
afin que nous puissions en sauver d'autres après avoir
été sauvés nous-mêmes.
Au fond du puits au THIBET
« Nous donnerez-vous l'histoire du puits ? »
Le Sâdhou raconta son expérience dans le puits,
au Thibet, avec les détails suivants qu'il n'avait pas
donnés auparavant.
Le puits était profond de quarante pieds et entouré
d'un mur dans lequel était une porte, de sorte qu'il y
avait deux portes fermées à clef. Le bras gauche de Sundar
Singh avait été cassé avant qu'on le jetât dans
le
puits, pour l'empêcher de chercher à s'enfuir. Il entendit
qu'on ouvrait la porte et une corde fut descendue.
L'homme qui l'avait lancée lui dit de la saisir, mais il répondit
qu'il ne pouvait pas se servir de son bras; alors
l'homme lui dit de mettre la corde sous ses jambes, et il le tira hors
du puits. La nuit était noire; il ne put
reconnaître celui qui l'avait retiré, et le prit pour
un soldat thibétain, venu le chercher pour lui faire subir une
nouvelle torture. Il lui demanda son nom, mais n'obtint pas de réponse.
« Après avoir franchi les deux portes que
l'homme avait ouvertes, j'attendis pour lui demander quelle
route je devais prendre. J'attendis cinq, dix, vingt, trente minutes,
mais personne ne vint.» Le lendemain
matin, je prêchais de nouveau dans le village, et je fus amené
devant le lama. Il me demanda comment
j'avais pu sortir du puits. je lui racontai. On alla vérifier
les serrures qui étaient en parfait état et fermées;
on
chercha la clef - clef unique - et on la trouva à la ceinture
du lama... Celui-ci commença à se troubler. Enfin
il me dit : « Montre ton bras ! » C'est à ce moment
que je me souvins qu'au sortir du puits l'homme avait
touché mon bras... je le montrai, il était parfaitement
guéri. Alors le lama me dit: «Ton Dieu t'a protégé;
nous ne te ferons aucun mal, mais va-t-en de notre province, de peur
que des malédictions ne nous
atteignent ».
» Ce ne sont pas les jours des miracles qui sont
passés, mais les jours de la foi qui s'en vont. Je m'attends
à voir de plus grandes choses encore dans cette région,
d'ici à quelques années. Nous devons nous confier
en Christ, croire en Lui, sans jamais douter. Ne vous fiez pas trop
à votre cerveau, écoutez votre coeur.
Etendez la main en croyant et vous recevrez la bénédiction.
» Un homme vint au Sauveur avec une main sèche.
Christ savait qu'il désirait être guéri et lui dit
- «
Etends ta main ». L'homme obéit et il fut guéri.
S'il s'était mis à raisonner, il n'aurait pas été
guéri. Un
théologien aurait dit : « Quelle absurdité ! si
je pouvais étendre mon bras, je n'aurais pas besoin de toi ».
Mais lui, ne tenait pas aux raisonnements, il voulait la guérison
et il étendit la main. Etendons la main de
notre foi, même si elle est desséchée et nous serons
guéris. Nous ne devons pas raisonner ou douter, car ce
serait porter atteinte à son honneur. Confions-nous, obéissons-lui;
alors, nous verrons sa puissance et nous
serons ses témoins. je suis témoin que les grandes choses
qu'il a faites pour moi, Il peut les faire pour
vous... »
Sadhou Sundar Singh,
Discours du Sâdhou Sundar Singh, prononcé à Genève,
à la Salle centrale, le vendredi 10 mars 1922.