Ma mère était malade depuis 2 ans. Elle avait dépensé des milliers de dollars pour se faire soigner à l'hôpital. Elle avait essayé tout ce que la médecine moderne, la médecine homéopathique et la médecine alternative avaient à offrir, mais rien ne marchait. Son cas empirait, elle était victime d'étourdissement et ressentait des douleurs comme si des aiguilles lui transperçaient la peau. Elle ne pouvait marcher droit et dû éventuellement rester clouée au lit. Les docteurs avaient établi plusieurs diagnostiques; maladie du sang, virus, sclérose en plaques et autres.
Ma grand-mère l'a invitée à une réunion charismatique de guérison dans une église catholique où les prêtres étaient remplis du Saint-Esprit. Ce soir là, sa santé était pire que jamais mais ma mère était déterminée à sa rendre à cette rencontre, ce qu'elle a fait en s'y traînant de peine et de misère. Elle savait dans son cœur que Dieu était son seul espoir ; s'il n'intervenait pas, sa vie était finie. Alors qu'elle est entrée dans l'église, elle s'est écroulée au sol. Le visage en larmes, elle a relevé la tête et regardé la croix, priant : « Jésus, ce soir je viens à toi et à toi seul ». Elle s'est efforcée d'aller vers l'avant où se tenait le prêtre mais avant de se rendre jusqu'à lui pour qu'il lui impose les mains, la puissance du Saint-Esprit est venue sur elle avec une telle force qu'elle a été projetée vers l'arrière de l'autel sur une distance de 3 mètres. Alors qu'elle était couchée au sol, elle a senti comme un fort courant électrique lui traverser le corps. Elle pensait mourir et monter au ciel. Les prêtres l'ont aidée à se relever. Elle pouvait encore sentir la puissance de Dieu couler en elle. Quand elle s'est tenue debout, elle a remarqué quelque chose. Toute la douleur et toute la maladie avaient quitté son corps! Non seulement cela mais elle avait donné son cœur à Jésus.
Je me rappelle encore quand ma mère est revenue à la maison, toute souriante. Je ne l'avais pas vu sourire depuis deux ans. Je lui ai demandé ce qui s'est passé. Elle a répondu : « Jésus m'a guérie ». Ma mère m'a expliqué ce que Jésus avait accompli sur la croix en ma faveur. Alors qu'elle me parlait de Jésus, une conviction soudaine de péché est venue sur moi et j'ai senti que j'avais besoin d'être pardonné. Nous avons prié ensemble et demandé que Jésus me pardonne. Je me suis senti propre. Quelque chose avait changé en moi. Toute ma famille est venue aussi au Seigneur, commençant une relation glorieuse avec Dieu. Nous nous sommes impliqués dans une église du Plein Évangile avec un enseignement biblique solide et une musique vivante d'adoration.
Guéri d'un champignon à l'ongle !
Il y a huit ans, j’ai attrapé une mycose fongique sur l’ongle de mon gros orteil. Ce champignon a grandi de plus en plus, et a complètement détruit mon ongle de pied. Il était marron foncé, très laid, et poussait n’importe comment. J’avais honte, et j’étais un peu désespéré, car je n’avais encore jamais entendu parler d’un traitement efficace contre les mycoses des ongles.
Même de puissants médicaments contre les mycoses fongiques n’y ont rien changé. Alors, j’ai mis cela de côté, et j’ai presque arrêté de prier pour cela.
J’ai néanmoins lu le merveilleux livre "Healing The Sick" de T. L. Osborn, et cela m’a donné une lueur d’espoir : la guérison était encore possible.
En 2001, alors que je travaillais dans un hôpital, j’ai parlé à un malade qui, entre autres diagnostics, avait eu dans le passé un champignon sur l’ongle de son gros orteil. J’ai examiné son orteil, et j’ai vu qu’il allait absolument bien. Totalement surpris, je lui ai demandé comment il était arrivé à ce résultat ; il m’a dit qu’il avait pris un médicament appelé Lamisil, fabriqué par la société Novartis. Je me suis mis à prier au sujet de ce médicament et, lors d’un exposé donné par Phillip Day, je lui ai demandé ce qu’il savait des champignons sur les ongles de pied, et ce qu’il ferait dans ce cas. Il m’a répondu qu’il y avait un produit de la société Novartis.
J’avais donc une réponse éventuelle à ma question, alors j’en ai acheté.
Cependant, je n’ai jamais pris ce médicament, parce que j’ai été trop paresseux, et aussi parce que je me suis souvenu du livre de T. L. Osborn “Healing the Sick (Guérir les Malades)” , ainsi que de celui de E. W. Kenyon, "Jesus the Healer (Jésus celui qui guérit)".
J’ai donc fait avec foi ce qui était recommandé dans ces livres. J’ai touché du doigt mon orteil infecté, et j’ai dit : “Merci Seigneur Jésus ; par tes meurtrissures, je suis guéri”. C’est une citation de l’Ecriture ESAIE 53:5 et 1. PIERRE 2:24.
Alors j’ai remercié Dieu presque chaque jour ; j’ai confessé ma guérison par Ses meurtrissures. En 2002, je me suis aperçu que le champignon s’en allait. Un bel ongle sain était en train de remplacer cette vieille matière marron et infectée. Je l’ai montré à beaucoup de personnes, et celles-ci se sont rendu compte qu’un miracle était en train de se produire. Maintenant, l’ongle de mon gros orteil est sain depuis la racine jusqu’aux quatre cinquièmes, et il s’améliore de plus en plus. La simple foi en Jésus-Christ a fait ce que rien d’autre ne pouvait réaliser. Dieu donne plusieurs solutions. En fait, il a créé des remèdes naturels qui peuvent aider ; il ne faut pas les mépriser.
Mais la meilleure solution, qui est aussi la plus simple, c’est de faire confiance à la Bible et d’agir selon la Parole de Dieu. Continuez de croire en Ses promesses avec une foi enfantine et de la reconnaissance, dans le Nom de Jésus.
- Jason Schreiber, Docteur en Médecine
Une amie très
intime avait une tumeur sur l'utérus grosse comme une orange. La
veille de son opération, un ami est venu prier très simplement
en demandant au Seigneur de la guérir. Le lendemain matin, avant
de passer à la table d'opération le médecin a fait
une dernière vérification. La tumeur était disparue
et l'opération a été annulée. J'en suis témoin.
Cette même
amie avait une trou dans sa rétine qui l'empêchait d'avoir
une vision adéquate. Après la prière elle est retournée
voir l'ophtalmologiste qui lui a annoncé que le trou était
disparu et qu'elle pouvait maintenant avoir des lunettes lui permettant
d'avoir une vision adéquate. Pourquoi Dieu ne l'a-t-elle pas guérie
complètement? Lui seul a la réponse et je soupçonne
qu'elle a à voir avec la manière qu'il veut se glorifier
dans la vie de cette amie.
Le pasteur Richard Sipley qui avait
eu aussi une guérison partielle pour l'un de ses malaises s'est
demandé pourquoi il n'avait pas été guéri complètement.
Il a conclu que ce que Dieu voulait lui enseigner que ce qu'il pouvait
faire en lui était plus important que ce qu'il pouvait faire
pour
lui.
«La vie de Christ
est tellement extraordinaire qu'elle peut triompher de la maladie soit
en l'enrayant soit en la vainquant sans l'enrayer.» P.13 Comprendre
la guérison divine
J'ajouterai une expérience
vécue au début des années 50 (il y a cinquante ou
presque !) par mon frère aîné, alors pasteur stagiaire
en Normandie:
Le pasteur des anciens et lui-même sont au chevet
d'une sœur malade à qui l'onction d'huile vient d'être faite,
chacun prie encore .... Seigneur, guéris notre sœur etc... Un pasteur
lui parle en langue curieusement c'est de l'anglais qu'il n'a jamais appris
ne connaît pas et ne comprends pas!... Seul mon frère André
peut comprendre; Il a prié pour la Corée, pour d'autres pays,
d'autres situations, puis il pria pour la malade en vue de sa guérison
par la foi puis continua à prier pour louer le Seigneur et toujours
en anglais qu'il ne connaissait pas ! André alors est intervenu
pour expliquer ce qu'il venait de dire, et bien sûr la personne en
question fut miraculeusement guéri.
- Jean Weber
A 6mois, je me mourais d'une
broncho-pneumonie. Le médecin avait quitté la ferme en déclarant
que je ne passerais pas la nuit. Mon père et ma mère se mirent
à prier avec ferveur pour que Dieu me guérisse. Mon père
me tenait dans ses bras pour m'aider à respirer. Vers minuit il
regarda ma mère et dit: «C'est fini!». J'avais cessé
de respirer.
Ma mère me prit dans ses bras et, de tout son coeur,
elle supplia Dieu ne me secourir. Soudain, elle me tint la tête en
bas et me flanqua un grand coup dans le dos. À ce moment-là,
un gros morceau de mucus durci tomba de ma bouche et rebondit sur le plancher,
et je recommençai à respirer. Par la suite, je m'endormis
et tandis qu'ils continuaient à prier, la fièvre disparut.
quand le médecin vint nous rendre visite le jour suivant, il fut
étonné et en attribua le mérite à Dieu.
- Le pasteur Richard Sipley - que j'ai déjà
rencontré - donnant son témoignage dans son livre «Comprendre
la guérison divine» P.7
Delores Winder,
une femme que je connais, a eu une expérience similaire à
celle de l'homme né aveugle.
Pendant 19 ans et demi son épine
dorsale et ses hanches se sont détériorés. Les docteurs
ne lui donnaient aucun espoir de guérison, mais sa douleur était
si grande qu'ils ont dû accomplir une procédure chirurgicale
appelée une cordotomie cutanée. Cette procédure, accomplie
seulement sur des patients en phase terminale, brûle les centres
nerveux du cerveau.
Après cette opération,
Delores n'avait plus aucune sensation sur le côté droit de
son corps de la taille en descendant. Sur le côté gauche elle
n'avait aucune sensation à partir du sein en descendant. Parce qu'elle
n'avait aucune sensation, elle se coupait ou se brûlait elle-même
sans le savoir. Elle pouvait marcher seulement avec de l'aide. Son corps
était placé dans un moule corporel, son cou dans un appareil
orthopédique.
En 1975, à la demande de
son fils, Delores est allé à une rencontre de Kathryn Kuhlman,
durant laquelle elle a commencé à expérimenter une
sensation de brûlure dans ses jambes - une impossibilité médicale.
A la fin de la rencontre elle avait une pleine sensation (sans douleur)
à travers tout son corps. Sa guérison fut vérifiée
par le Dr. Richard O'Wellen du Johns Hopskins Medical School, qui était
présent. Elle a enlevé son moule corporel et est sorti de
l'auditorium en marchant, pleinement restaurée. Aujourd'hui, quand
nous voyons cette femme energique, pleine d'entrain, se mouvoir agilement
de personne à personne pour prier (Delores a un ministère
de prière magnifique), nous sommes remplis d'étonnement et
d'actions de grâce envers la puissance de Dieu.
Cependant cette guérison
lui a causée des difficultés. Pendant des années Delores
et sa famille avaient été membres d'une église aimante
et qui prenait soin des gens. Mais quand Dieu a répondu aux prières
pour la guérison d'une manière différente de ce qui
était attendu par tous, elle fut ostracisée par les gens même
qui avaient prié pour elle. Son église a délibérément
ignoré sa guérison; il n'y a eu aucune annonce à partir
de la chaire ni aucune action de grâce publique. P.37 Quoiqu'ils
aient souffert avec elle à travers son supplice, ils étaient
profondément embarrassés et effrayés par la guérison,
car elle défiait leur vision du monde.
Même Delores avait de la difficulté
à accepté sa guérison. Cela ne concordait pas non
plus avec sa vision du monde. Elle a vite souhaité que Dieu l'eût
guérie d'une façon plus ordinaire, moins miraculeuse.
«Je puis dire ces choses au
sujet de mon église, dit-elle, parce que ce sont des faits, et parce
que la personne la plus menacée était moi-même. Ma
vision du monde n'avait aucune place pour ce genre d'intervention miraculeuse
de la part de Dieu. Si l'Église a eu de la misère à
composer avec le miracle, j'en ai eu encore plus. Je croyais seulement
en Jésus le Sauveur. Je n'avais pas de place dans mon monde pour
Jésus le Guérisseur. Le miracle avait balayé tout
ce que je croyais au sujet de Jésus et de la façon par laquelle
il travaillait. J'étais fâchée contre Dieu et je voulais
m'en aller ailleurs à un endroit où personne ne me connaissait,
et recommencer ma vie.
La première année
fut extrêmement difficile. J'ai dû m'ajuster à une nouvelle
vision du christianisme et découvrir par la Bible que Jésus
était plus que le Sauveur de nos âmes. Pendant des mois j'ai
lutté avec les Écritures et j'ai commencé à
reconstruire ma vision du monde en incluant la possibilité que Jésus
faisait encore des miracles.»
Nos constructions de la réalité
sont toujours, dans une certaine mesure, incomplètes et limitées.
Comme Delores, nous sommes mis au défi de voir plus comme Dieu voit
et d'expérimenter l'immensité du monde que Dieu a créé
et dans lequel il se meut.
- Zeb Bradford
Les exemples de guérison qui suivent sont tirés
du livre anglais «Catch the Fire» par Guy Chevreau et se sont
produits lors des premiers temps de la «bénédiction
de Toronto». Je les ai choisis à dessein pour démontrer
qu'il est sorti du bon aussi de l'assemblée se réunissant
à l'aéroport de Toronto.
Sarah Lilleman, Mars 1994
En octobre 1991, Sarah âgée de 13 ans a attrapé
ce que les parents pensaient être une grippe. Cependant, aucun éternuement
ni reniflement n'aurait pu faire que sa vue, déjà très
pauvre depuis sa naissance, dégénère encore plus;
la grippe ne fait pas non plus perdre la mémoire et n'apporte pas
des désordres cognitifs non plus. Des tests furent passés
au Peel Memorial et au Sick Children's Hospitals de Toronto, mais aucune
cause médicale pour ses symptômes ne put être trouvée.
Comme les mois passaient, Sarah perdait de plus en plus le contrôle
de ses muscles en même temps que son habilité cognitive. En
octobre 1993, elle était incapable de parler, de manger, d'avaler
ou de voir. En janvier 1994 elle fut transférée à
Bloorview, un hôpital pour les soins des patients chroniques, ayant
besoin d'un petit monte-charge pour être mise au lit.
Le 27 février 1994, une amie de Sarah, Rachel Allalouf,
est venue à la rencontre du soir au Airport Vineyard. Après
le message de Randy Clark, on a prié sur elle, et pendant qu'elle
reposait dans le Seigneur, elle a eu une vision d'être à une
table dans le ciel; ses deux grand-pères étaient là,
avec Jésus. Cette vision est "passée" ensuite à une
vision de la croix, où Jésus a dit à Rachel
d'aller à l'hôpital Bloorview le jour suivant et de prier
pour Sarah. Rachel a raconté que Jésus lui avait dit comment
prier.
Le jour suivant, Rachel est allée à l'hôpital
comme convenu, avec son père, Simon. Sarah était dans une
chaise roulante spéciale - une sorte de «civière sur
roue». Elle a reconnu les voix, mais elle ne pouvait voir ou comprendre
ce qui lui était dit. De la salive dégoûtait de sa
bouche.
Rachel et Simon ont amené Sarah dans un endroit
tranquille dans le pavillon, où Rachel a commencé à
prier de la façon que Jésus lui avait dit de faire. Après
qu'elle et son père eurent intercédé durant deux heures
et demi, Sarah a commencé à pleurer, et ensuite à
trembler. Sa vision a commencé à revenir, et ses jambes ont
commencé à bouger. Tranquillement elle a commencé
à s'asseoir et le bavement incontrôlable s'est arrêté.
La joie du Seigneur a commencé à la remplir, et Sarah fut
capable de dire, "Je prends des forces!"
Avant de venir à l'hôpital, Rachel était
si convaincue que Jésus allait guérir Sarah qu'elle avait
apporté à son amie un sac de chips aux concombres marinés
pour qu'elle le mange. Les jours suivants, Sarah s'est mise à marcher
et à manger par elle-même, les chips aussi! Sa vision a continué
à s'améliorer.
La nouvelle de la récupération de Sarah
a vite fait le tour de l'Hôpital. Quelques jours plus tard, un femme
au bureau d'admission est venue vers Simon et Rachel et leur a dit: "La
puissance de Jésus est réelle, n'est-ce pas?" Elle était
une croyante, et, comme Simon le rapporte, elle était emballée
que le Seigneur était venu et avait visité l'hôpital
avec sa puissance de guérison. Elle leur a alors demandé
de prier pour son mari incroyant qui était alcoolique, ce qu'ils
ont fait.
Le 22 avril 1994, Sarah est retourné à la
maison, quittant Bloorview - personne ne s'attendait à ce qu'elle
sorte un jour de cet hôpital.
Mardi, le 26 avril 1994, Sarah était allé
à une rencontre à Airport. Son amie Rachel était avec
elle, et elle a reçu une autre parole du Seigneur disant que si
Sarah allait en avant et témoigner, il guérirait ses yeux..
La mère de Sarah avait remarqué combien c'était dur
pour Sarah de faire cela, étant donné qu'elle éprouvait
une peur terrible devant les gens - mais Sarah l'a fait quand même
parce qu'elle faisait confiance au Seigneur.
Quelqu'un de l'équipe de prière s'est approché,
a béni Rachel, et a ensuite dit à Sarah, «Ce soir,
tu vas recevoir deux guérisons de la part du Seigneur - Il va guérir
tes yeux et il va guérir tes émotions»
Sarah a reçu depuis d'autres effusions de l'Esprit
et elle peut maintenant prier en langues. Sa famille proche a changé
radicalement, elle est plus intime que jamais, et elle marche bien plus
étroitement avec Dieu. La femme incroyante de Simon est venue aux
rencontres de Airport et elle a donné sa vie au Seigneur, tôt
au mois de mai. Simon a raconté à un vieil ami le travail
du Seigneur dans la vie de Sarah, et il est venu aux rencontres, et il
a donné son coeur à Jésus. La mère de Sarah
a aussi apporté une amie, et elle a aussi donné sa vie au
Seigneur.
Simon, un juif messianique, a conclu son compte-rendu:
«Nous voulons seulement rendre à Jésus toute la louange
et toute la gloire. Nous l'aimons de tout notre coeur et rien, absolument
rien, ne passe avant lui. Il est l'Alpha et l'Oméga. Louons Yeshua!»
Hasita (Magazine "SEND" de Gospel for Asia)
Après l'accouchement, Hasita a soudainement perdu la sensation dans tout son corps, mais elle pouvait encore savoir que son corps tremblait incontrôlablement. Sa famille l'amena voir des sorciers et des docteurs, mais personne ne pouvait lui apporter la guérison dont elle a grand besoin et désirait ardemment.
Hasita a souffert ainsi pendant onze ans, elle est devenue très découragée avec le temps.
Alors sa famille l'amena à Paran, un missionnaire natif, afin qu'il prie pour elle. Paran était heureux de prier pour Hasita et le Seigneur l'a complètement guérie. Quand sa famille a vu ce miracle, elle a choisi de suivre Jésus-Christ comme Seigneur et Sauveur.
Le boeuf de Naaven (Magazine "SEND" de Gospel for Asia)
Un pauvre fermier du nom de Naaven se fiait sur son boeuf pour se nourrir. Quand son boeuf fut mordu par une vipère vers minuit, il fut très inquiet. Il a appelé le sorcier pour qu'il fasse les rituels sur le boeuf, mais cela a empiré, le boeuf refusait de manger et grognait tellement il était en douleur.
Alors, un des voisins de Naaven l'a poussé à appeler un chrétien. Ils ont fait signe à Layak, un missionnaire. Il était près d'une heure du matin, mais Layak et un ami se sont précipités chez le fermier. Layak a demandé au sorcier de rester là et d'observer l'oeuvre du Seigneur.
Layak et son ami ont prié et demandé à Dieu de guérir le boeuf. Après la prière, Layak et Naaven ont donné du foin à manger au boeuf, et celui-ci a commencé à manger sans problème.
Le sorcier et ses compagnons ont vu l'oeuvre incroyable du Seigneur, ils ont baissé la tête et ont quitté la maison de Naaven. À travers ce miracle extraordinaire, Naaven et sa famille ont décidé de suivre le Seigneur, et plusieurs dans le village sont maintenant ouverts et désirent entendre parler de l'amour de Dieu pour eux.